CHU Nîmes

Présentation

Le CHU de Nîmes est l’incarnation d’un projet médico-scientifique et soignant répondant aux besoins de santé du bassin de population du Gard et des départements alentours en matière de prise en charge et d’accompagnement.

Le CHU de Nîmes

Doté d’une capacité d’accueil de près de 2064 lits, le CHU de Nîmes rassemble une communauté hospitalière de 1 351 médecins (étudiants et internes compris) et 5 868 collaborateurs non médicaux, répartis sur trois sites :

  • Le campus hospitalo-universitaire Carémeau ;
  • Le centre de gérontologie Serre-Cavalier,
  • L’hôpital universitaire de Réadaptation, Rééducation et Addictologie au Grau-du-Roi.

Les missions fondamentales de l’établissement sont le soin, l’enseignement, la recherche et la formation. Le CHU s’investit également dans la prévention, l’éducation à la santé, l’accès aux soins et la lutte contre l’exclusion sociale.

Du soin de proximité à la prise en charge de pathologies rares et complexes, le CHU de Nîmes est un centre de référence qui regroupe toutes les spécialités médicales et chirurgicales, dans une politique d’amélioration de la qualité de vie des patients et de leur entourage.

Grâce à ses technologies de pointe, le CHU s’inscrit dans une dynamique de soins d’excellence, de progrès et d’innovation. Fortement ancré dans son territoire, le CHU un établissement porteur de valeurs humaines et citoyennes.

En 2020, pour la 14e année consécutive, l’établissement présentait budget à l’équilibre avec :

  • 316 972 consultations ;
  • 144 605 hospitalisations ;
  • 17 766 interventions chirurgicales (dont 7 369 en ambulatoire).

Un CHU en métamorphose – traduction architecturale des projets médicaux

Dans le cadre de sa dynamique de développement, le CHU accompagne des projets médicaux via de nouvelles installations et un schéma directeur immobilier ambitieux et nécessaire. Ainsi, en 2022, un nouveau bâtiment regroupant les activités SSR/SMIT/Gériatrie sortira de terre. Doté d’une superficie de 13 500 m2, pensé grâce aux enseignements tirés de la flambée épidémique, il sera parfaitement adapté aux crises pandémiques en proposant des flux systématiquement dissociés et des capacités d’expansions rapides.

Par ailleurs, d’autres dispositifs et constructions, basés sur la philosophie du management par les projets illustrent un CHU ambitieux porté par un directeur général, Nicolas Best, et une communauté hospitalière engagée à son développement et sa croissance.

Au programme :

  • L’extension de l’ICG et des bunkers de radiothérapie face à l’augmentation des pathologies cancéreuses, liée en partie, au vieillissement de la population du territoire ;
  • Un projet « Maladies chroniques », de plus en plus nombreuses également, qui va centraliser ces activités grâce à la restructuration du bâtiment situé sur le site de Caremeau Nord ;
  • Un projet de restructuration de l’activité interventionnelle avec la création d’un centre d’endoscopies en lien avec le CACS (Centre ambulatoire Carémeau Sud) ;
  • En termes de volet médico-social, le Centre de Gérontologie Serre-Cavalier connaîtra également la rénovation des bâtiments et la création d’un nouveau, de manière à, entre autres, pouvoir proposer aux résidents uniquement des chambres simples, améliorer le confort hôtelier et faciliter les prises en soins.

Un CHU qui valorise la formation et l’enseignement

Répondant à ses missions d’enseignement et de formation des étudiants et des jeunes professionnels de santé, le CHU développe notamment la formation par simulation, à travers SimHU Nîmes, plateforme pluridisciplinaire d’enseignement par simulation, cogérée avec la faculté de médecine de l’université de Montpellier, qui regroupe, en un même site, toutes les disciplines enseignées (anesthésie-réanimation, chirurgie digestive, gynécologie-obstétrique, hépato-gastroentérologie, urgences, ORL, orthopédie, pédiatrie, urologie) et toutes les techniques disponibles (jeux de rôles, modèles inertes, simulateurs vidéo 3D,…).

Le CHU forme également au métier d’assistant de régulation médical via son centre le CFARM. Cette formation s’effectue en partenariat avec les CHU de Nîmes, Montpellier, Nice et Toulouse.

Le CESU 30 en charge de la formation, à l’urgence et aux situations sanitaires exceptionnelles, des acteurs du secteur sanitaire et médico-social exerçant en institutions, publiques et privées, ou en structure libérale du département du Gard. Chaque année, ce sont 800 professionnels qui se forment aux gestes et soins d’urgence entre autres.

L’école des manipulateurs radio en partenariat avec l’Institut Emmanuel d’Alzon a lancé une formation sur trois ans qui mène au diplôme de technicien supérieur en imagerie médicale et radiologie thérapeutique.

Infos pratiques

https://www.chu-nimes.fr/

CHU Nîmes

place du Pr Robert Debré
30029 Nîmes cedex 9

04 66 68 68 68

Direction de la Communication, Affaires culturelles & Mécénat :
Jeremy Rosier
04 66 68 33 04
direction.communication@chu-nimes.fr

Gouvernance

Président du Conseil de Surveillance :
Monsieur Jean-Paul FOURNIER

Vice-Président du Conseil de Surveillance :
Monsieur Alexandre PISSAS

Directeur général, Président du Directoire :
Nicolas BEST

Président de la Commission Médicale d’Etablissement, Vice-Président du Directoire :
Professeur Michel Prudhomme

Faculté

Directeur de l’unité de formation et de recherche (UFR) de médecine :
Pr Isabelle Laffont

Les articles du CHU Nîmes

Insuffisance cardiaque, diabète quand la télésurveillance change la donne

Personnalisation des soins, proximité et rigueur… le CHU de Nîmes déploie son offre de télémédecine via la télésurveillance des patients souffrant de deux pathologies : l’insuffisance cardiaque et le diabète. Grâce à cette connexion, un suivi à distance est établi avec un médecin ou un professionnel de santé qui interprète les données et adapte le traitement au plus près de l’évolution de la santé du patient. Des évolutions qui vont changer la vie de milliers de personnes traitées au CHU de Nîmes, pionnier en matière de solutions numériques et de parcours patients simplifiés.

Pose de prothèse totale de hanche en ambulatoire à Nîmes

Le virage ambulatoire amorcé en chirurgie orthopédique se poursuit avec une première pose de prothèse totale de hanche par le service de chirurgie orthopédique et traumatologique du CHU de Nîmes. Cet acte chirurgical complexe peut désormais être réalisé en hospitalisation de jour grâce aux techniques opératoires mini-invasives, aux avancées en matière de gestion de la douleur périopératoire et à l’organisation minutieuse des prestataires de soins à domicile.

Un hôtel hospitalier au CHU de Nîmes

Passer une nuit à l’hôtel plutôt qu’à l’hôpital, lorsque son état de santé le permet, c’est possible à Nîmes grâce au partenariat que le CHU de Nîmes (CHUN) vient de signer avec la Maison des Parents, le 7 février 2018. Le CHUN fait partie des 41 établissements de santé autorisés par le ministère de la Santé à héberger des usagers dans des structures hôtelières situées à proximité des lieux de soins comme la Maison des parents. Cette solution s’adresse aux patients traités au CHU dont l’état de santé ne motive pas une hospitalisation complète.

Une année 2018 « sous le signe de de la volonté, de la confiance et de la réussite » pour le CHU de Nîmes

Avec une activité soutenue et de bons indicateurs financiers, le CHU de Nîmes aborde 2018 avec une ambitieuse feuille de route. Développement la recherche, optimisation du parcours patient et de l’accès aux soins, constructions et modernisations sont au programme de cette nouvelle année.

Les 12 engagements du CHU de Nîmes

A travers les 12 engagements de son projet d’établissement 2017 – 2021, le CHU de Nîmes dessine son avenir et renforce son positionnement au sein du paysage sanitaire et médico-social. Dans le Gard d’abord où le CHU est le principal opérateur de soins, le premier employeur avec 6 000 collaborateurs et le support du groupement hospitalier de territoire Cévennes-Gard-Camargue. En Occitanie ensuite où il est reconnu comme la troisième force de recherche hospitalo-universitaire aux côtés des CHU de Montpellier et de Toulouse. A l’international enfin par ses partenariats privilégiés avec le CH Viêt Tiêp (Vietnam) et la Fondation Cheikh Khalifa Ibn Zaïd de Casablanca (Maroc).

Le CHU de Nîmes anime le débat sur la sécurité des hospitaliers

La 1re journée d’échange du Club des directeurs et conseillers sûreté des établissements hospitaliers s’est tenue ce 14 décembre au CHU de Nîmes (CHUN). Une communauté d’experts au service des établissements hospitaliers réunie pour partager ses réflexions, ses expertises et ses savoir-faire face à des enjeux de sécurité de plus en plus complexes. Cette première rencontre s’est faite en présence de Vincent Terrenoir, délégué pour la Sécurité générale à l’Observatoire national des violences en milieu de santé (Direction générale de l’offre de soins) et de Christophe Perrin, chef du service d’Animation des politiques de sécurité intérieure (Direction des sécurités) à la Préfecture du Gard. Thierry Gaussen responsable du service Sécurité des Biens et des personnes (SSBP) du CHUN, co-fondateur du Club revient sur les enjeux de cette initiative.

Patients impliqués dans la sécurité des soins : l’initiative de Nîmes récompensée par la DGOS

« Inviter les patients à devenir acteurs de la sécurité des soins » et organiser des échanges avec les professionnels sur le respect de leurs droits et les exigences liées à la qualité des soins. Tel est l’enjeu de l’opération « Brèves d’usagers » imaginée par le CHU de Nîmes qui vient de remporter le prix DGOS lors de la Semaine de la sécurité des patients.

Certif’ : la longue marche mise en scène avec humour par Nîmes

Utiliser l’humour pour sensibiliser les professionnels de santé aux différentes étapes du parcours d’un patient et leur rappeler les bonnes pratiques avant le passage du grand examen de certification en mars prochain. C’est tout l’enjeu des épisodes mis en ligne sur youtube par le CHU de Nîmes. La Délégation à la qualité et à la gestion des risques et le service Communication & Culture du CHU ont créé une web série intitulée « CHU’ en route pour la Certif’ » avec l’aide du réalisateur William Eguienta. Les vidéos mettent en scène avec humour les affres d’un patient en prise avec l’univers plus ou moins hospitalier des services administratifs et de soins.

Sécurité renforcée au CHU de Nîmes : partenariat avec l’Etat et le ministère de la Justice

L’hôpital n’échappe pas aux maux de la société. Depuis le début de l’année, le Service Sécurité des Biens et des Personnes (SSBP) du CHU de Nîmes a effectué 518 interventions. Il a notamment procédé à 9 interpellations dans le cadre flagrant délit et saisi 32 armes de catégorie D, soit une hausse de 8 % par rapport à 2016. Sont principalement concernés les urgences et la psychiatrie, mais aucun service n’est épargné. Face à la montée des incivilités et des agressions, le CHU a souhaité renforcer la sécurité des agents hospitaliers, des usagers et des biens, faciliter les coopérations avec les forces de l’ordre, simplifier les dépôts de plainte et à permettre d’accélérer les décisions de justice. Autant de signaux forts contre le sentiment d’impunité qui a pu se répandre.

Ophtalmo. : toutes les compétences réunies pour répondre aux besoins des nîmois

En phase modernisation, le CHU de Nîmes redessine son plateau de consultations d’ophtalmologie qui regroupe désormais toutes les compétences et les dernières technologies sur un espace de 80m². Ces transformations répondent à un besoin grandissant de son bassin de population. « Standard, hall d’accueil, programmation des rendez-vous, secrétariats médicaux, urgences spécialisées, équipement de dernière génération…. l’intégration de services autrefois répartis sur plusieurs unités