Hôpitaux du futur, modèles hospitalo-universitaires de demain, hôpitaux du bien-être, urbanisme et architecture en santé… Une nouvelle génération d’établissements est en cours d’édification. Pour découvrir les dernières esquisses et explorer les concepts avant-gardistes, l’Union des Architectes Francophones pour la Santé donne rendez-vous à la profession ainsi qu’aux ingénieurs, directeurs d’établissement européens et internationaux.
"L’évolution architecturale s’impose à tous les acteurs de la santé, mais elle est surtout un vecteur de changement impactant les organisations et les pratiques au niveau le plus haut de toutes les institutions." Gérard Huet, architecte, Président de l’Union des Architectes Francophones pour la Santé.
400 participants sont attendus à Menton du 28 au 30 octobre 2019
Des dizaines de professionnels sont impliqués dans les programmes immobiliers des établissements de santé, au premier rang desquels figurent les architectes, architectes paysagistes, architectes d’intérieur, praticiens médicaux, professionnels de la santé, programmistes en soins de santé, ingénieurs, urbanistes, designers, industriels en équipements de santé, sociologue, équipementiers médicaux et biomédicaux, gestionnaires des installations hospitalières publiques et privées, département des travaux publics, chercheurs, étudiants…
Parmi les temps forts, on retiendra l’assemblée plénière internationale avec les exposés de représentants du Brésil, du Danemark, d’Italie, du Maroc et les contributions des responsables de la conférence des directeurs généraux de CHU, de l’hospitalisation privée.
Au programme également, les interventions des ingénieurs et les nouvelles tendances de la conception en santé, le design et l’architecture intérieure, les fonctions supports…
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Organisée à l’initiative de l’Union des Architectes Francophones pour la Santé, ces journées sont le fruit du travail collectif de réflexion sur l’avenir des établissements sanitaires et médico-sociaux.
Se rééduquer pour mieux entendre
Être acteur de son audition, c’est désormais possible au CHRU de Tours grâce à un nouveau dispositif de rééducation auditive : l’implant cochléaire.