Dans un communiqué, le CHU de Saint-Etienne transmet un message de soutien à ceux que la barbarie vient d’endeuiller. Son directeur général, Frédéric Boiron "adresse ses premières pensées aux victimes et à leurs proches, à la population, aux services de secours et de sécurité et aux autorités". Il tient à rappeler que "la sauvagerie des terroristes ne nous fera pas renoncer à nos valeurs(…) de solidarité humaine". Aux côtés des équipes du CHU de Saint-Etienne, il affirme solennellement l’attachement indéfectible des hospitaliers "aux principes démocratiques que porte la devise de la République, Liberté, Egalité, Fraternité"
La résolution du Conseil d’Administration de la Fédération Hospitalière de France
Le 23 mars, lors de son Conseil d’Administration, la Fédération hospitalière de France a tenu à exprimer "sa plus profonde tristesse devant les actes ignobles et aveugles qui ont frappé la Belgique. Les hospitaliers publics français sont plus que jamais aux côtés de leurs amis belges et de leurs services de Santé et tiennent à leur adresser leur solidarité, leur amitié et leur compassion. Dans ces moments tragiques, les services de soins vont être durement mis à l’épreuve et leurs homologues français savent qu’ils sauront être à la hauteur. Comme en France, il y a quelques semaines, leur rôle sera déterminant pour panser les plaies des actes terroristes, pour garder la tête haute dans l’épreuve et pour ne jamais céder à la peur et au fanatisme."
Le communiqué a été co-signé par Frédéric Valletoux, Président de la FHF, Daniel Casse, Président de la CNDEPAH, Pr Michel Claudon, Président de la conférence des présidents de CME de CHU, Jean-Pierre Dewitte, Président de la conférence des directeurs généraux de CHRU, Thierry Godeau, Président de la conférence des présidents de CME de CH, Christian Müller, Président de la conférence des présidents de CME de CHS, Zaynab Riet, Présidente de la conférence des directeurs de CH
Se rééduquer pour mieux entendre
Être acteur de son audition, c’est désormais possible au CHRU de Tours grâce à un nouveau dispositif de rééducation auditive : l’implant cochléaire.