Elles veillent au bien-être des patients en prodiguant des séances d’onco-esthétique : toucher détente, maquillage, modelages du visage, des mains, des pieds… Pour elles, l’image corporelle participe à la prise de confiance et au respect de soi à un moment de la vie où la personne est fragilisée. Elles, ce sont Maïly et Pauline…, jeunes élèves socio-esthéticiennes de l’école privée Giorgifont, elles ont entre 20 et 25 ans et ont choisi d’offrir des pauses détente aux femmes et aux hommes atteints d’un cancer.
Les patients apprécient ce moment de confort où il n’est question ni de maladie, ni de traitement mais d’écoute non médicalisée, une manière de s’évader du cadre hospitalier pour retrouver ses habitudes de vie à l’extérieur.
Financé par le Zonta club Nîmes-romaines au travers de la course annuelle « La zontienne », le projet implique les étudiantes de l’année de spécialisation en socio-esthétique de l’école privée Giorgifont. Les séances d’onco-esthétique agissent sur le moral des patients, preuve que l’esthétique n’est pas qu’une question de légèreté mais surtout d’humanité, un peu comme si la beauté participait à la lutte contre le cancer.
A Lyon, l’IA prédit désormais des résultats d’essais cliniques
Le 11 septembre dernier, le groupe pharmaceutique AstraZeneca a publié les résultats d’un essai clinique sur un traitement pour soigner le cancer du poumon. Jusqu’ici, tout paraît à peu près normal. Ce qui l’est moins : trois jours avant cette publication, une intelligence artificielle a permis de prédire avec justesse les résultats de ce même essai. Une grande première au niveau mondial.