Une augmentation de l’activité qui se traduit par 2 millions € de recettes supplémentaires à confirmer sur la fin d’exercice 2018, des hausses de l’hospitalisation complète et ambulatoire, respectivement + 6% à fin mars pour la première et + 5,5% pour la seconde, + 7% d’accouchements par rapport au 1er trimestre 2017, 600 000 consultations externes par an soit + 4% et, enfin, + 3% de passages aux urgences pédiatriques, + 8% pour les urgences adultes, + 16% de prises en charge aux urgences gynécologiques : tous les chiffres prouvent qu’il s’agit du meilleur début d’année pour le CHU de Clermont-Ferrand depuis 2012, résultat de l’investissement constant des équipes médicales et des personnels.
Une augmentation de l’activité qui se traduit par 2 millions € de recettes supplémentaires à confirmer sur la fin d’exercice 2018, des hausses de l’hospitalisation complète et ambulatoire, respectivement + 6% à fin mars pour la première et + 5,5% pour la seconde, + 7% d’accouchements par rapport au 1er trimestre 2017, 600 000 consultations externes par an soit + 4% et, enfin, + 3% de passages aux urgences pédiatriques, + 8% pour les urgences adultes, + 16% de prises en charge aux urgences gynécologiques : tous les chiffres prouvent qu’il s’agit du meilleur début d’année pour le CHU de Clermont-Ferrand depuis 2012, résultat de l’investissement constant des équipes médicales et des personnels.
Les leviers d’une gestion performante
Des dépenses maîtrisées
D’abord un objectif, la limitation de la progression des charges du CHU à moins de 1% au global en 2018 malgré un contexte de hausse mécanique des charges sur les personnels et des prix. Une volonté qui s’appuie sur les efforts de l’ensemble des personnels médicaux et non-médicaux et la préservation de la qualité des soins par le maintien d’un haut niveau d’investissement lié à une meilleure gestion financière.
Ensuite, le constat des résultats liés à cette maîtrise des dépenses sur 2017 avec une performance : seulement + 0,44% de hausse des charges entre 2016 et 2017, alors qu’elles restent très difficiles à contenir :
• charges de personnel non-médical (infirmiers, aides-soignants, notamment) : + 2,21% entre 2016 et 2017
• charges médicales (médicaments, dispositifs médicaux, laboratoires) : + 3% entre 2016 et 2017.
Même tendance en 2018 liées au développement des activités de pointe et à l’innovation qui permettent de soigner les patients grâce à des molécules et des dispositifs coûteux. La pharmacie du CHU est engagée dans des procédures de contrôles internes rigoureux permettant d’ajuster au mieux les dotations de médicaments et de dispositifs médicaux, en activant de nouvelles synergies avec les prescripteurs.
Une dette renégociée
L’établissement a refinancé deux contrats d’emprunt historiques en 2018 en regard de sa dette qui avoisine 250 millions d’€. Une action de renégociation avec les partenaires bancaires locaux et européens a dégagé plus de 4 millions € d’économies : 800 000 € dès 2019, puis 638 000 € à partir de 2020. Le CHU de Clermont Ferrand reste attractif pour les banques françaises et européennes puisqu’il a reçu une trentaine de propositions de financement lui permettant de faire le meilleur choix pour ses finances.
L’établissement a refinancé deux contrats d’emprunt historiques en 2018 en regard de sa dette qui avoisine 250 millions d’€. Une action de renégociation avec les partenaires bancaires locaux et européens a dégagé plus de 4 millions € d’économies : 800 000 € dès 2019, puis 638 000 € à partir de 2020. Le CHU de Clermont Ferrand reste attractif pour les banques françaises et européennes puisqu’il a reçu une trentaine de propositions de financement lui permettant de faire le meilleur choix pour ses finances.
Une trésorerie confortée
50 millions € sont dégagés à travers la mobilisation de 4 lignes de trésorerie pour répondre à la situation de trésorerie délicate. Un travail sur des marges stratégiques pour l‘établissement, en partie activées dès 2017 par la Direction des Finances, se poursuit cette année avec des priorités : le paiement des fournisseurs dans les délais réglementaires et le recouvrement renforcé des créances (acte de biologie, consultations médicales, prestations diverses) auprès des débiteurs.
50 millions € sont dégagés à travers la mobilisation de 4 lignes de trésorerie pour répondre à la situation de trésorerie délicate. Un travail sur des marges stratégiques pour l‘établissement, en partie activées dès 2017 par la Direction des Finances, se poursuit cette année avec des priorités : le paiement des fournisseurs dans les délais réglementaires et le recouvrement renforcé des créances (acte de biologie, consultations médicales, prestations diverses) auprès des débiteurs.
Une politique volontaire d’investissements
Le CHU de Clermont Ferrand est le premier investisseur pour la santé des populations à la fois par la rapidité de prise en charge sur le territoire Auvergnat et par un accès à l’innovation pour tous. Son plateau médicotechnique est unique sur le territoire : 3 IRM, scanner, salles de blocs opératoires hybrides etc.)
Le CHU de Clermont Ferrand est le premier investisseur pour la santé des populations à la fois par la rapidité de prise en charge sur le territoire Auvergnat et par un accès à l’innovation pour tous. Son plateau médicotechnique est unique sur le territoire : 3 IRM, scanner, salles de blocs opératoires hybrides etc.)
28 millions € d’investissement sont prévus en 2018 (contre 23 millions € en 2017) pour préparer l’avenir de ses équipements et pour répondre à sa mission de recours en Auvergne.
Les priorités pour cette année sont
– le renouvellement des équipements lourds avec : un IRM 3T, un IRM 1,5 Tesla, un lithotripteur, une imagerie de pointe pour la pédiatrie permettant des modélisations 3D des articulations tout en réduisant de façon significative l’exposition des enfants aux irradiations
– la mise en place un robot chirurgical, constituant une innovation au bénéfice des patients, et un second robot de recherche
– le désamiantage et la réhabilitation du site Gabriel-Montpied, la déconstruction de l’aile Ouest ainsi que la préparation d’autres chantiers majeurs
– le début du projet de stérilisation de territoire.
– le renouvellement des équipements lourds avec : un IRM 3T, un IRM 1,5 Tesla, un lithotripteur, une imagerie de pointe pour la pédiatrie permettant des modélisations 3D des articulations tout en réduisant de façon significative l’exposition des enfants aux irradiations
– la mise en place un robot chirurgical, constituant une innovation au bénéfice des patients, et un second robot de recherche
– le désamiantage et la réhabilitation du site Gabriel-Montpied, la déconstruction de l’aile Ouest ainsi que la préparation d’autres chantiers majeurs
– le début du projet de stérilisation de territoire.
Un support du GHT « TerritoireS d’Auvergne »
Le CHU de Clermont Ferrand est l’établissement support du GHT (Groupement Hospitalier de Territoire) « TerritoireS d’Auvergne » (Allier + Puy De Dôme en coopération avec le GHT Cantal et Haute Loire). Il en porte la majeure partie des investissements et vise à renforcer cette position pour remplir sa mission de prise en charge et d’accès aux soins des patients sur le périmètre auvergnat.
Le CHU de Clermont Ferrand est l’établissement support du GHT (Groupement Hospitalier de Territoire) « TerritoireS d’Auvergne » (Allier + Puy De Dôme en coopération avec le GHT Cantal et Haute Loire). Il en porte la majeure partie des investissements et vise à renforcer cette position pour remplir sa mission de prise en charge et d’accès aux soins des patients sur le périmètre auvergnat.
Il passe, dans ce contexte, une convention avec le Centre de rééducation fonctionnelle CMPR Notre-Dame. Pour mettre sur pied un réseau gradué, les parties signataires se sont rapprochées des acteurs du dispositif sanitaire et social. Cette coopération visant à :
– garantir des soins de qualité et offrir à tous l’accès à des professionnels médicaux et de rééducation aux compétences et à l’expériences reconnues
– installer un dispositif performant pour les soins de suite et de réadaptation
– définir les relations entre les services des établissements signataires
– préserver le libre choix du patient dans le fonctionnement du réseau.
– garantir des soins de qualité et offrir à tous l’accès à des professionnels médicaux et de rééducation aux compétences et à l’expériences reconnues
– installer un dispositif performant pour les soins de suite et de réadaptation
– définir les relations entre les services des établissements signataires
– préserver le libre choix du patient dans le fonctionnement du réseau.
À court terme, ce modèle de convention sera amené à s’étendre sur les établissements de Billom, Thiers, Clémentel, Mont-Dore, Issoire, Riom et les établissements de la Mutualité du Puy-de-Dôme.