L’appli qui fait le lien entre le CHU et le domicile obtient un financement participatif

"Entre Vous (patients) et Nous (le CHU de Montpellier), il y a de la place pour EVEN" , une nouvelle application pour smartphone, destinée à offrir un suivi personnalisé aux patients et leur famille dès leur sortie du CHU de Montpellier. Cette appli, conçue par les équipe du CHU pour offrir un suivi personnalisé aux patients, a été financée par au crowdfunding avec le soutien du Fonds Guilhem et de la Caisse d’Epargne Languedoc Roussillon.
"Entre Vous (patients) et Nous (le CHU de Montpellier), il y a de la place pour EVEN" , une nouvelle application pour smartphone, destinée à offrir un suivi personnalisé aux patients et leur famille dès leur sortie du CHU de Montpellier. Cette appli, conçue par les équipe du CHU pour offrir un suivi personnalisé aux patients, a été financée par au crowdfunding avec le soutien du Fonds Guilhem et de la Caisse d’Epargne Languedoc Roussillon.
 
Comment EVEN va-t-il aider le patient ?
EVEN préserve le lien avec l’équipe médicale dès le retour du patient à son domicile. Il apporte des réponses à ses interrogations et à celles de sa famille après et entre ses rendez-vous de suivi au CHU.
Ainsi impliqué, le patient est associé à la gestion au quotidien de sa santé. L’appli lui permet d’enregistrer des données dans un environnement complètement sécurisé et d’indiquer son ressenti dans le but d’améliorer sa qualité de vie.
 
Quelles informations retrouve-t-on sur l’appli ?
Des informations générales sur sa santé, des conseils personnalisés sur sa maladie, ses rendez-vous médicaux et des informations sur son éducation thérapeutique.
 
Grâce à ce projet innovant, chacun devient est invité à être pro-acteur de sa santé en gardant un lien continu avec l’équipe médicale pendant le traitement de sa maladie même lorsqu’il n’est pas à l’hôpital.
 
Un projet financé par le mécénat et la générosité des particuliers
Le Fonds Guilhem – CHU de Montpellier, en partenariat avec la Caisse d’Epargne Languedoc-Roussillon, ont lancé une campagne de financement participatif
 jusqu’au 30 juin avec pour objectif de récolter 5 000 €. Pour chaque euro récolté, la Caisse d’Epargne Languedoc Roussillon reversera également 1€ au Fonds Guilhem au profit du projet.
Au-delà de cette date, la campagne se poursuit mais la mise n’est plus doublée…

Commentaires

Il n’y a pas encore de commentaire pour cet article.

Sur le même sujet

CHU de la Réunion, se préparer au cyclone

Au cours de la nuit du 20 au 21 février dernier, l’île de la Réunion a évité le choc qu’aurait pu causer le cyclone baptisé Freddy, finalement passé à environ 190 km de ses côtes. Face à l’alerte orange, le CHU de la Réunion a lancé son plan cyclone pour anticiper les conséquences d’une potentielle catastrophe. Retour sur les mesures mises en place.

MARADJA, une décennie à accompagner les jeunes atteints de cancers

En France, environ neuf cent adolescents (15-18 ans) et mille quatre cent jeunes adultes (18-25 ans) sont touchés chaque année par le cancer. Au CHU de Bordeaux, un lieu particulier leur est destiné, MARADJA (Maison Aquitaine Ressources pour Adolescents et Jeunes Adultes), qui fête ses dix ans. Nous y avons rencontré Lucile Auguin, traitée à vingt-trois ans pour une leucémie aiguë.

Lactarium Raymond Fourcade, la page se tourne à Bordeaux

Le 5 décembre dernier, sur le site de l’hôpital Haut-Lévêque (Pessac), était posée la première pierre du futur Lactarium Raymond Fourcade. Le projet qui sera livré l’an prochain, 1200 m2 de bâti neuf doté d’équipements dernier cri, doit venir “conforter la place du CHU de Bordeaux comme le plus important lactarium au niveau national” ; et prendre le relais de l’actuel site de production basé à Marmande (Lot-et-Garonne), en fonctionnement depuis près d’un demi-siècle et que le CHU avait acquis en 2012.

Dr Jean-Victor Blanc : « On sort des tabous qui ont trop longtemps englobé les troubles psychiques »

Changer le regard du grand public sur la santé mentale. C’est la mission que s’est donné Jean-Victor Blanc, psychiatre à l’hôpital Saint Antoine à Paris et auteur du livre Pop & Psy. Et pour déstigmatiser et sensibiliser le plus grand nombre aux troubles psychiques, quoi de plus accessible que d’utiliser les films et les séries. Rencontre.