Le CHU de Nice classé 12e au palmarès du Point

Cité dans 43 spécialités, le CHU de Nice conserve sa 12ème place au palmarès annuel des 50 meilleurs hôpitaux français publié par le Point, jeudi 16 juin 2011.

Cité dans 43 spécialités, le CHU de Nice conserve sa 12ème place au palmarès annuel des 50 meilleurs hôpitaux français publié par le Point, jeudi 16 juin 2011.
Pour établir ce classement dans la plus grande indépendance, le Point a analysé la prise en charge de soixante-trois spécialités médicales et chirurgicales dans 800 hôpitaux publics.

Le CHU de Nice est reconnu dans ses activités d’excellence

Chirurgie de l’épaule (1er) ; chirurgie du canal carpien (2e) ; chirurgie de l’obésité, vésicule biliaire (3e) ; chirurgie esthétique (4e) ; hernies de l’abdomen (6e) ; chirurgie de la colonne vertébrale (10e)

D’autres spécialités médicales sont bien notées 

 
AVC (12e) ; proctologie, urgences de la main, calculs urinaires, sclérose en plaques, amygdales et végétations (13e) ; neurochirurgie, chirurgie du côlon et de l’intestin, chirurgie du ronflement (14e) ; épilepsie (15e) ; rétine (16e) ; hépatites virales (17e) ; chirurgie des tumeurs osseuses, appendicite, cancer de la peau, maladies infectieuses et du voyageur, anévrisme cérébral (18e) ; cancer du poumon, prothèse du genou (21e) foie/pancréas, estomac et œsophage, chirurgie des artères (22e) ; varices (23e) urgences traumatologiques, pneumologie (24e) ; rhumatologie (26e) ; endocrinologie (28e) ; traumatologie du genou (29e) ; prothèse de hanche (30e) leucémie (31e) ;  chirurgie du rectum, cancer de la prostate (32e) ; cataracte, diabète (45e), cancers gynécologiques (46e) ; adénome de la prostate (48e).

Commentaires

Il n’y a pas encore de commentaire pour cet article.

Sur le même sujet

Pour les CHU, le spectre de l’impasse financière

Dans un communiqué rendu public ce lundi 2 octobre, la Conférence des Directeurs Généraux de CHU s’alarme de la mauvaise situation financière des CHU français, imputable selon elle aux surcoûts en termes de ressources humaines et aux effets de l’inflation. Et redoute une dégradation rapide si l’Etat ne fait rien.

A Lyon, l’IA prédit désormais des résultats d’essais cliniques

Le 11 septembre dernier, le groupe pharmaceutique AstraZeneca a publié les résultats d’un essai clinique sur un traitement pour soigner le cancer du poumon. Jusqu’ici, tout paraît à peu près normal. Ce qui l’est moins : trois jours avant cette publication, une intelligence artificielle a permis de prédire avec justesse les résultats de ce même essai. Une grande première au niveau mondial.

Dossier : l’Accident Vasculaire Cérébral (AVC)

L’Accident Vasculaire Cérébral touche 150 000 personnes par an. Responsable de 110 000 hospitalisations selon le ministère de la santé, cet arrêt soudain de la circulation sanguin à l’intérieur du cerveau représente la troisième cause de décès chez l’homme et deuxième chez la femme, soit au total 30 000 décès par an. En France, plus de 500 000 Français vivent avec des séquelles suite à un AVC.

AVC : la promesse d’une prise en charge en moins de dix minutes

Les conséquences d’un Accident Cardiovasculaire (AVC) peuvent être lourdes, voire fatales. Première cause de dépendance et troisième cause de mortalité en France, cette pathologie due à une mauvaise irrigation du cerveau fait de plus en plus de victimes. Face à cette réalité alarmante, le CHU de Montpellier a annoncé fin août la mise en place d’un nouveau plateau technique offrant aux patients un parcours de soins optimisé. Et de promettre désormais une “prise en charge en neuf minutes”.

Coup d’oeil sur le métier d’infirmière formatrice

Isabelle Teurlay-Nicot est infirmière formatrice auprès des aides-soignants à l’IMS (Institut des Métiers de la Santé) du CHU de Bordeaux. Un métier qui ne se limite pas seulement à la notion d’apprentissage. En juillet dernier, elle a accepté de revenir sur cette profession ou se mêlent expertise médicale et pédagogie.