Le CHU de Toulouse est classé second au palmarès 2013 des hôpitaux et cliniques du magazine « Le Point » paru le jeudi 22 aout 2013. Depuis 16 ans, les hôpitaux toulousains ont été classés 9 fois à la première place et 7 fois à la seconde. Le maire de Toulouse, Pierre Cohen a adressé ses félicitations aux équipes pour cette flatteuse 2ème place.
Le palmarès a mis au banc d’essai 63 activités médicales et chirurgicales de 522 établissements publics ou privés à but non lucratif participant au service public hospitalier.
Le CHU de Toulouse se distingue particulièrement dans la prise en charge de l’infarctus du myocarde, du traitement de l’épilepsie et des urgences traumatologiques où il occupe la première place nationale.
A la deuxième place, on retrouve la neurologie avec l’accident vasculaire cérébral, la diabétologie-endocrinologie et la chirurgie de l’estomac, de l’œsophage, des glandes salivaires et de la thyroïde.
L’activité de cancérologie du CHU (prostate, tumeurs osseuses, poumon et rein…) est remarquablement représentée à la troisième et quatrième position.
Cette place est une confirmation de l’excellence de la qualité des soins prodigués au CHU de Toulouse et un bel hommage au travail et à l’implication de chacun des personnels de l’institution.
Dans un article daté du 24 août, la Dépêche de Toulouse signalait les messages de félicitations et d’encouragement des élus aux équipes du CHU et notamment celui de Pierre Cohen, maire de la ville rose "Toulouse est une ville de médecine reconnue pour son excellence, nous nous battons pour assurer un service public et une offre de soin de très grande qualité".
Première greffe française de larynx : récit d’une performance lyonnaise
Pour la première fois en France, un larynx a été greffé sur une femme les 2 et 3 septembre dernier. Deux mois et demi après cette opération spectaculaire qui a mobilisé douze chirurgiens issus des Hospices Civils de Lyon et autres CHU français durant vingt-sept heures, le CHU lyonnais communique sur le sujet. Quant à la patiente âgée de 49 ans, elle pourrait retrouver durablement l’usage de la parole vingt ans après l’avoir perdue.