Le service biomédical certifié ISO 9001

Le label ISO 9001 version 2008 a été délivré au service biomédical du CHU de Reims le 15 janvier 2010 pour une durée de 3 ans. Entamée en mars 2008, la démarche de certification ISO 9001 du service biomédical s'inscrit dans le prolongement de la certification HAS 2008 du CHU. Audité par l'AFAQ-AFNOR, le service biomédical a pu répondre à toutes les exigences de la norme comme la performance des méthodes utilisées, l'efficacité des processus, la satisfaction des pôles et des services ou encore la conformité aux exigences réglementaires.

Le label ISO 9001 version 2008 a été délivré au service biomédical du CHU de Reims le 15 janvier 2010 pour une durée de 3 ans. Entamée en mars 2008, la démarche de certification ISO 9001 du service biomédical s’inscrit dans le prolongement de la certification HAS 2008 du CHU. Audité par l’AFAQ-AFNOR, le service biomédical a pu répondre à toutes les exigences de la norme comme la performance des méthodes utilisées, l’efficacité des processus, la satisfaction des pôles et des services ou encore la conformité aux exigences réglementaires.

Aucune non-conformité n’a été relevée. 10 points sensibles, qu’il conviendra de rectifier pour l’audit de suivi* en 2011, ont été signalés, ainsi que 10 points forts. Cette certification atteste de la capacité du service biomédical à s’engager dans une démarche d’amélioration continue de la qualité mesurée par la mise en place d’indicateurs. L’objectif visé est double : améliorer la prestation rendue par le service biomédical aux différents services de l’établissement et poursuivre la réduction des coûts liés à la non-qualité tout en optimisant les ressources, tant humaines que financières.

Principaux points forts
Implication de la direction, organisation du système de management de la qualité (à travers la cartographie des processus), gestion documentaire, maîtrise du produit (dispositif médical) non conforme, planification de la qualité (amélioration continue).

Principaux points sensibles
Marche en avant des dispositifs médicaux au sein des locaux, fiches de poste à améliorer, évaluation des fournisseurs à déployer.

* la démarche de certification ISO 9001 comprend un audit de suivi annuel pendant deux ans.

Commentaires

Il n’y a pas encore de commentaire pour cet article.

Sur le même sujet

Dossier : L’obésité

Elle concerne 17% des adultes en France, a des origines multiples et peut entraîner de nombreuses complications – cardiovasculaires, hépatiques, rénales, respiratoires, dermatologiques, cancers, diabète – : cette maladie, c’est l’obésité. Alors que la journée mondiale le l’obésité a eu lieu le le 4 mars, la rédaction a souhaité lui consacrer un dossier.

CHU de la Réunion, se préparer au cyclone

Au cours de la nuit du 20 au 21 février dernier, l’île de la Réunion a évité le choc qu’aurait pu causer le cyclone baptisé Freddy, finalement passé à environ 190 km de ses côtes. Face à l’alerte orange, le CHU de la Réunion a lancé son plan cyclone pour anticiper les conséquences d’une potentielle catastrophe. Retour sur les mesures mises en place.

MARADJA, une décennie à accompagner les jeunes atteints de cancers

En France, environ neuf cent adolescents (15-18 ans) et mille quatre cent jeunes adultes (18-25 ans) sont touchés chaque année par le cancer. Au CHU de Bordeaux, un lieu particulier leur est destiné, MARADJA (Maison Aquitaine Ressources pour Adolescents et Jeunes Adultes), qui fête ses dix ans. Nous y avons rencontré Lucile Auguin, traitée à vingt-trois ans pour une leucémie aiguë.

Lactarium Raymond Fourcade, la page se tourne à Bordeaux

Le 5 décembre dernier, sur le site de l’hôpital Haut-Lévêque (Pessac), était posée la première pierre du futur Lactarium Raymond Fourcade. Le projet qui sera livré l’an prochain, 1200 m2 de bâti neuf doté d’équipements dernier cri, doit venir “conforter la place du CHU de Bordeaux comme le plus important lactarium au niveau national” ; et prendre le relais de l’actuel site de production basé à Marmande (Lot-et-Garonne), en fonctionnement depuis près d’un demi-siècle et que le CHU avait acquis en 2012.