Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Le back office du CHU de Nantes à l’honneur

Les services de soins font régulièrement l’objet de reportage photos. Mais on connaît moins les travailleurs de l'ombre qui travaillent dans les coulisses du CHU. Pour combler cette lacune, le CHU de Nantes a souhaité réaliser un reportage sur ces « invisibles » trop rarement cités ou associés à l’hôpital et à la prise en charge des patients. Jusqu'à la mi-décembre une exposition met en scène les professionnels des circuits logistiques et un ouvrage leur rend hommage. Explications...

Les services de soins font régulièrement l’objet de reportage photos. Mais on connaît moins les travailleurs de l’ombre qui travaillent dans les coulisses du CHU. Pour combler cette lacune, le CHU de Nantes a souhaité réaliser un reportage sur ces « invisibles » trop rarement cités ou associés à l’hôpital et à la prise en charge des patients. Jusqu’à la mi-décembre une exposition met en scène les professionnels des circuits logistiques et un ouvrage leur rend hommage. Explications…
Loin des emblématiques « blouses blanches », l’objectif est de faire découvrir au public l’univers de services méconnus à travers quatre circuits logistiques : le linge, la restauration, les médicaments et la gestion des déchets. Pour chacun d’eux, les photos mettent en évidence cette chaîne d’hommes et de femmes qui, des unités de production aux services de soins, contribuent à l’accueil et au bien-être des patients hospitalisés.
Le défi était de taille pour la photographe Sylvie Legoupi et pour François-Xavier Schweyer, sociologue. Il fallait se faire accepter par les équipes et surtout se faire oublier pour surprendre des regards, des moments de vie et des gestes du métier. L’intérêt du reportage résidait en effet dans cette capacité à saisir l’instant présent, sincère et spontané.
Le résultat est superbe : des photographies pleines d’humanité mettant en lumière des professionnels et faisant découvrir leur quotidien.
Sylvie Legoupi, photographe de Rézé (44) n’en est pas à son coup d’essai avec le milieu hospitalier. Elle a déjà réalisé plusieurs reportages : les soins palliatifs et la néonatalogie à Saint-Malo et une série de très belles photos dans le service hématologie du CHU de Nantes.
Grâce au soutien de la MNH, la MACSF, la FHF et l’EHESP, ce travail  a donné lieu à une exposition itinérante sur les différents sites de l’hôpital jusqu’à la mi-décembre ainsi qu’à l’édition d’un ouvrage photographique. 
Contact : Nathalie Lefebvre – chargée des affaires culturelles au CHU – tél. 02.40.08.72.27

Commentaires

Il n’y a pas encore de commentaire pour cet article.

Sur le même sujet

Première greffe française de larynx : récit d’une performance lyonnaise

Pour la première fois en France, un larynx a été greffé sur une femme les 2 et 3 septembre dernier. Deux mois et demi après cette opération spectaculaire qui a mobilisé douze chirurgiens issus des Hospices Civils de Lyon et autres CHU français durant vingt-sept heures, le CHU lyonnais communique sur le sujet. Quant à la patiente âgée de 49 ans, elle pourrait retrouver durablement l’usage de la parole vingt ans après l’avoir perdue.

Etudes de Médecine : Romuald Blancard ou l’un des visages de l’ouverture du 2e cycle à la Réunion

Depuis septembre, il fait partie de la première promotion d’étudiants en médecine de quatrième année de La Réunion. Pour Réseau CHU, Romuald Blancard a accepté de nous parler de l’ouverture du deuxième cycle des études médicales sur son île, mais pas seulement. Son parcours atypique, son stage en psychiatrie, ses rêves jamais trop grands etc. ont été abordés dans les locaux du nouveau campus bioclimatique de Sainte-Terre. Sans langue de bois.

Le CHU de La Réunion a pris la vague rose

La seizième édition de la Run Odysséa Réunion s’est tenue les 4 et 5 novembre sur le site de l’Étang-salé, dans l’ouest de la Réunion, et ce malgré une météo capricieuse qui a bien failli compromettre l’opération. 275 000 euros ont été récoltés. Un succès auquel est associé le CHU de la Réunion, partenaire pour la première fois cette année, et dont le baptême de l’eau a été placé sous le signe de la prévention. Reportage.