Lille en appui au Groupement Hospitalier de l’Artois

Neurochirurgie, permanence des soins en chirurgie thoracique, grands brulés, maladies rares… les collaborations entre le CHU de Lille et le Groupement Hospitalier de l’Artois qui fédère le CH de Béthune, du CH de Hénin-Beaumont, du CH de la Bassée et du CH de Lens (établissement support du GHT) s’organisent par convention d’association. Dans ce cadre, Lille remplit une mission de recours et de référence pour garantir la continuité des soins dans les cas complexes adressés par le GHT.
Neurochirurgie, permanence des soins en chirurgie thoracique, grands brulés, maladies rares… les collaborations entre le CHU de Lille et le Groupement Hospitalier de l’Artois qui fédère le CH de Béthune, du CH de Hénin-Beaumont, du CH de la Bassée et du CH de Lens (établissement support du GHT) s’organisent par convention d’association. Dans ce cadre, Lille remplit une mission de recours et de référence pour garantir la continuité des soins dans les cas complexes adressés par le GHT.
La convention porte aussi sur la formation et la recherche avec le développement de l’attractivité du GHT Artois pour l’accueil des internes et la consolidation de la recherche en cancérologie, en maladies infectieuses et en cardiologie pour une égalité d’accès des patients volontaires aux essais cliniques. 
Ce partenariat s’inscrit dans le prolongement d’une entente historique entre les établissements. Il vient en appui à la stratégie de groupe public portée le GHT et aux projets médicaux partagés, conçus au bénéfice des patients. Cosignée le 14 juin 2017, la convention a réuni le Groupement Hospitalier de l’Artois (GHT), le CHU de Lille et les Facultés de Médecine, des sciences pharmaceutiques et biologiques et de chirurgie dentaire de Lille.
En savoir plus sur le projet médical du GHT de l’Artois 
Ce programme stratégique repose sur 4 axes majeurs à savoir, structurer la communauté médicale en pôles inter-établissements et équipes de territoire, organiser les filières sur la base de la gradation des soins, maintenir et poursuivre le développement des activités communes et de recours.

Commentaires

Il n’y a pas encore de commentaire pour cet article.

Sur le même sujet

Première greffe française de larynx : récit d’une performance lyonnaise

Pour la première fois en France, un larynx a été greffé sur une femme les 2 et 3 septembre dernier. Deux mois et demi après cette opération spectaculaire qui a mobilisé douze chirurgiens issus des Hospices Civils de Lyon et autres CHU français durant vingt-sept heures, le CHU lyonnais communique sur le sujet. Quant à la patiente âgée de 49 ans, elle pourrait retrouver durablement l’usage de la parole vingt ans après l’avoir perdue.

Etudes de Médecine : Romuald Blancard ou l’un des visages de l’ouverture du 2e cycle à la Réunion

Depuis septembre, il fait partie de la première promotion d’étudiants en médecine de quatrième année de La Réunion. Pour Réseau CHU, Romuald Blancard a accepté de nous parler de l’ouverture du deuxième cycle des études médicales sur son île, mais pas seulement. Son parcours atypique, son stage en psychiatrie, ses rêves jamais trop grands etc. ont été abordés dans les locaux du nouveau campus bioclimatique de Sainte-Terre. Sans langue de bois.

Le CHU de La Réunion a pris la vague rose

La seizième édition de la Run Odysséa Réunion s’est tenue les 4 et 5 novembre sur le site de l’Étang-salé, dans l’ouest de la Réunion, et ce malgré une météo capricieuse qui a bien failli compromettre l’opération. 275 000 euros ont été récoltés. Un succès auquel est associé le CHU de la Réunion, partenaire pour la première fois cette année, et dont le baptême de l’eau a été placé sous le signe de la prévention. Reportage.

A Nancy, l’Infiny au service des MICI

En juin 2021, l’Agence nationale de la recherche annonçait le financement de douze nouveaux Instituts hospitalo-universitaires, montant ainsi le nombre d’IHU à dix-neuf avec l’ambition de faire de la France la première nation souveraine en matière de santé à l’échelle européenne. Sur ces douze nouveaux établissements, deux d’entre eux ont obtenu, en raison de “intérêt de santé publique majeur” qu’ils présentaient, le label “IHU émergent ».” C’est notamment le cas de l’IHU INFINY du CHRU de Nancy, officiellement lancé le 7 septembre dernier, et spécialisé dans la prise en charge des MICI.