Le CHU de Nîmes clôt son exercice 2017 avec un excédent de 5,05 M€ pour le budget principal. Fort de ses comptes positifs et d'une activité en hausse, l'établissement poursuit ses investissements immobiliers : la construction bâtiment public-privé de neurosciences et l’ouverture d’un bâtiment de circuit très court pour la chirurgie ambulatoire. Au programme également, la création d'un dossier patient informatisé de dernière génération
Le CHU de Nîmes clôt son exercice 2017 avec un excédent de 5,05 M€ pour le budget principal. Fort de ses comptes positifs et d’une activité en hausse, l’établissement poursuit ses investissements immobiliers : la construction bâtiment public-privé de neurosciences et l’ouverture d’un bâtiment de circuit très court pour la chirurgie ambulatoire. Au programme également, la création d’un dossier patient informatisé de dernière génération.
Une activité en progression
Ce bon résultat financier a été favorisé par une augmentation de l’activité plus forte que prévu, avec, notamment, une progression de 4,4% des séjours MCO dont + 5 % en médecine et 4 % en chirurgie.
Une activité en progression
Ce bon résultat financier a été favorisé par une augmentation de l’activité plus forte que prévu, avec, notamment, une progression de 4,4% des séjours MCO dont + 5 % en médecine et 4 % en chirurgie.
L’hospitalisation conventionnelle a bénéficié, pour sa part, d’une augmentation de près de 2 % en médecine et de 2,2 % en chirurgie. Les recettes liées à l’activité du CHUN (Tarification à l’activité – T2A, séjours) ont ainsi progressé de + 6,4 M€, dont plus de 4 M€ liés aux projets médicaux novateurs portés par l’institution (effets « année pleine » de l’augmentation de l’activité de Réanimation, du nouveau service de Cardiologie, développement de l’activité d’autogreffes, hôpital de jour de Médecine physique et de réadaptation « HADEMOP »).
Quant à l’activité induite par le « virage ambulatoire », elle a continué à progresser en 2017 pour atteindre près de 40 % de taux de chirurgie ambulatoire.
Quant à l’activité induite par le « virage ambulatoire », elle a continué à progresser en 2017 pour atteindre près de 40 % de taux de chirurgie ambulatoire.
L’augmentation de l’activité, générant davantage de recettes, s’est associée à un niveau de dépenses maîtrisées. Ces bons scores permettent à l’établissement d’atteindre un taux de marge de 8,2 % en résultat financier économique 2017.
La capacité d’autofinancement de l’établissement participera au soutien de projets immobiliers d’ampleur à savoir la construction bâtiment public-privé de Neurosciences, l’ouverture d’un bâtiment de circuit très court pour la chirurgie ambulatoire, ou encore la reconfiguration et l’agrandissement d’un plateau de médecine interventionnelle.
Elle financera également l’acquisition d’un dossier patient informatisé de dernière génération.
La capacité d’autofinancement de l’établissement participera au soutien de projets immobiliers d’ampleur à savoir la construction bâtiment public-privé de Neurosciences, l’ouverture d’un bâtiment de circuit très court pour la chirurgie ambulatoire, ou encore la reconfiguration et l’agrandissement d’un plateau de médecine interventionnelle.
Elle financera également l’acquisition d’un dossier patient informatisé de dernière génération.