Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Pose de la 1ère pierre de l’Institut de Biologie et Pathologie

Le 18 février 2008 à 11 heures a eu lieu la cérémonie de pose de la première pierre de l'Institut de Biologie et Pathologie du CHU de Grenoble. Un bâtiment de 27 500 m2 devrait voir le jour d'ici la fin 2009 sur le site Nord du CHU.

Le 18 février 2008 à 11 heures a eu lieu la cérémonie de pose de la première pierre de l’Institut de Biologie et Pathologie du CHU de Grenoble. Un bâtiment de 27 500 m2 devrait voir le jour d’ici la fin 2009 sur le site Nord du CHU.

Axe stratégique du Projet d’Etablissement, l’Institut de Biologie et Pathologie constituera une structure moderne et innovante pour le diagnostic médical, l’innovation technique et la formation.

Cet institut regroupera outre les activités d’anatomie et cytologie pathologiques (actuellement le département d’anatomie et cytologie pathologiques), les activités de nombreuses spécialités biologiques : bactériologie, virologie, parasitologie-mycologie (actuellement le département des agents infectieux), hématologie, immunologie, pharmacologie-toxicologie, enzymologie, (actuellement département de biologie et pathologie de la cellule), biochimies nutritionnelle, hormonale, cancérologie biologique, toxicologie professionnelle (actuellement le département de biologie intégrée).

L’Institut de Biologie et Pathologie constituera un centre performant de réalisation des analyses nécessaires au diagnostic des diverses pathologies mais aussi un centre d’évaluation des nouvelles technologies, de transfert entre équipes de recherche et équipes médicales et un centre de formation.

Une structure avec des objectifs complémentaires
Pour les patients : une plus grande lisibilité des structures d’accueil, la réduction des prélèvements, un accueil unique pour les patients externes, une harmonisation du rendu des résultats.
Pour les services cliniques : la centralisation de l’arrivée des prélèvements, un meilleur délai de réponse.
Pour les biologistes : des plateaux techniques performants pour la biologie classique comme pour la recherche et le développement ; une meilleure gestion du personnel, des consommables, de la qualité ; la mise en commun de compétences pour l’animation scientifique, l’enseignement et la formation, le partage de la documentation scientifique et des banques de matériels biologiques.

Cette opération va permettre en outre de poursuivre une rénovation en profondeur de l’hôpital Michallon grâce aux surfaces libérées : rationalisation des lieux de consultations, restructuration et modernisation des ailes d’hospitalisation, évolution du confort hôtelier avec une augmentation du nombre de chambres individuelles, afin de répondre aux attentes des patients.

Pour plus d’informations, dossier de presse disponible sur www.chu-grenoble.fr

Commentaires

Il n’y a pas encore de commentaire pour cet article.

Sur le même sujet

Violences : fin de l’omerta à l’hôpital

La semaine dernière, la Conférence des Doyens de facultés de médecine a publié un communiqué de presse co-signé avec l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris (APHP), annonçant un engagement commun dans la lutte contre les violences au travail. Une déclaration qui fait suite aux récentes accusations de violences morales et sexuelles de Karine Lacombe à l’encontre du médecin urgentiste Patrick Pelloux.

L’ICI, nouveau temple de la cancérologie

Le CHU de Brest vient d’inaugurer son nouvel Institut de Cancérologie et d’Imagerie, surnommé ICI. Ce centre, promesse d’un hôpital centré sur l’humain et doté d’une technologie de pointe, est amené à devenir l’un des fers de lance européens dans le traitement du cancer, avec une capacité de 50 000 patients par an.

Dossier : La maladie de Parkinson 

Décrite pour la première fois dans An Essay on the Shaking Palsy (1817) par James Parkinson, un médecin anglais, la maladie de Parkinson, mentionnée souvent en abrégé « Parkinson », est une maladie neurodégénérative irréversible d’évolution lente. La maladie s’installe ainsi au cours d’une longue phase asymptomatique de plusieurs années. Les premiers symptômes ne se font en effet ressentir que lorsque 50 à 70% des neurones dopaminergiques du cerveau sont détruits. Ils se déclarent essentiellement progressivement sous la forme d’un tremblement de repos, d’un ralentissement des mouvements et d’une raideur musculaire. Néanmoins, de nombreux troubles moteurs et non moteurs peuvent s’ajouter à la liste, devenant de réels handicaps dans le quotidien de ceux qui la subissent.

Voici comment le CHU de Rennes agit pour contrer Parkinson

Ce jeudi 11 avril a lieu la Journée internationale de la maladie de Parkinson. L’occasion pour les CHU de valoriser leur implication sur ce sujet, notamment à travers les Centres Experts Parkinson (CEP) affiliés. Le Centre Hospitalier Universitaire de Rennes ne manque pas à l’appel, mettant en valeur des actions qui garantissent à la fois une offre diagnostique simplifiée et une prise en charge multidisciplinaire, adaptée au profil de chaque patient.

L’IHU toulousain dédié au vieillissement officiellement lancé

L’Institut Hospitalo-Universitaire HealthAge a officiellement été lancé le 2 avril à Toulouse. Porté par le CHU, l’Inserm et l’Université Toulouse III – Paul Sabatier, cet IHU, le seul exclusivement dédié au vieillissement en France, se donne pour ambition de contribuer au vieillissement en bonne santé des populations et de devenir le centre de référence européen en Géroscience.