Protibis, les galettes niçoises à la conquête des hôpitaux et maisons de retraite

Après avoir séduit les pharmacies, les galettes Protibis fait sont entrée sur le marché hospitalier. Le célèbre complément nutritionnel, conçu par le CHU de Nice et son laboratoire Solidages*, franchit une nouvelle étape en étant indexé au catalogue des centrales d’achats hospitalières (Uniha, Cahpp, Helpevia…). Les hôpitaux ainsi que les maisons de retraite (EHPAD) peuvent désormais les commander directement à des tarifs préférentiels.

Après avoir séduit les pharmacies, les galettes Protibis fait sont entrée sur le marché hospitalier. Le célèbre complément nutritionnel, conçu par le CHU de Nice et son laboratoire Solidages*, franchit une nouvelle étape en étant indexé au catalogue des centrales d’achats hospitalières (Uniha, Cahpp, Helpevia…). Les hôpitaux ainsi que les maisons de retraite (EHPAD) peuvent désormais les commander directement à des tarifs préférentiels.

Les vertus des galettes Protibis

Brevetées par le CHU de Nice et Solidages en 2009, les galettes ont vu leur efficacité confirmée par les études cliniques : prise de poids des personnes dénutries, appétit stimulé, transit régulé et escarres limités (Age and Ageing 2015), redécouverte du plaisir de croquer.
Ce goûter innovant répond à un vrai besoin des seniors. Après 70 ans, plus de 20 % d’entre eux souffrent de dénutrition, ce qui aggrave leurs maladies et augmente leur risque de dépendance. Les galettes Protibis sont hyper protidiques (22% de protéines), hyper énergétiques (30 kcal/galette) et aussi un appoint ou une alternative aux crèmes et boissons lactées. Grâce à une formulation innovante, ce produit 100% français réussit le pari d’être à la fois riche en céréales, pur beurre, sans huile de palme, sans OGM, sans colorant ni conservateur. Sous forme de galettes croustillantes, elles se déclinent en 2 saveurs : nature et cacao.
Les galettes sont adaptées aux personnes âgées ainsi qu’aux patients atteints de cancer (adaptées en cas de nausées), de la maladie d’Alzheimer («manger main»), de diabète (peu sucrées), ou encore les patients dialysés en séance (aliment solide).
Selon une étude réalisée par le CHU de Nîmes**, l’amélioration de l’état nutritionnel grâce aux galettes Protibis réduit les coûts des consultations médicales et les séjours hospitaliers pour des chutes et des infections. Par ailleurs, un médecin spécialiste de nutrition précise que ces galettes facilitent l’observance des patients et renforcent leur autonomie. 
« Nous sommes très fiers de contribuer l’amélioration de la santé des seniors avec ce complément nutritionnel plaisir. Il a fallu plusieurs années de recherche pour aboutir au brevet qui permet aux galettes Protibis d’être mangées quel que soit l’état dentaire. Depuis, des millions de galettes ont été grignotées par des malades et des personnes âgées pour reprendre du poids. Sans oublier les 33 mineurs chiliens bloqués 69 jours par 700 mètres de fond» Pr Isabelle Prêcheur, CHU de Nice

Points clés des galettes Protibis
• Complément nutritionnel adaptéaux personnes âgées et malades (cancer, Alzheimer, diabétiques,dialysés …)
• Galettes Protibis disponibles en hôpitaux et maisons de retraite via les centrales d’achat (Uniha…)
• Retrouver le plaisir de croquer pour les patients en perte de poids, même avec des problèmes dentaires
• En pharmacie avec ou sans prescription médicale : 8 galettes Protibis par jour pendant 1 mois.
• Progression des ventes en pharmacies en 2017 : 70%
*recherche en santé buccale et nutrition
** 
European GeriatricsMedicine 2017

Sur le même sujet
Les biscuits Protibis de Nice désormais remboursés par la Sécurité Sociale
Protibis : découvrez la nouvelle saveur cacao de la gourmandise niçoise

Commentaires

Il n’y a pas encore de commentaire pour cet article.

Sur le même sujet

Pour les CHU, le spectre de l’impasse financière

Dans un communiqué rendu public ce lundi 2 octobre, la Conférence des Directeurs Généraux de CHU s’alarme de la mauvaise situation financière des CHU français, imputable selon elle aux surcoûts en termes de ressources humaines et aux effets de l’inflation. Et redoute une dégradation rapide si l’Etat ne fait rien.

A Lyon, l’IA prédit désormais des résultats d’essais cliniques

Le 11 septembre dernier, le groupe pharmaceutique AstraZeneca a publié les résultats d’un essai clinique sur un traitement pour soigner le cancer du poumon. Jusqu’ici, tout paraît à peu près normal. Ce qui l’est moins : trois jours avant cette publication, une intelligence artificielle a permis de prédire avec justesse les résultats de ce même essai. Une grande première au niveau mondial.

Dossier : l’Accident Vasculaire Cérébral (AVC)

L’Accident Vasculaire Cérébral touche 150 000 personnes par an. Responsable de 110 000 hospitalisations selon le ministère de la santé, cet arrêt soudain de la circulation sanguin à l’intérieur du cerveau représente la troisième cause de décès chez l’homme et deuxième chez la femme, soit au total 30 000 décès par an. En France, plus de 500 000 Français vivent avec des séquelles suite à un AVC.

AVC : la promesse d’une prise en charge en moins de dix minutes

Les conséquences d’un Accident Cardiovasculaire (AVC) peuvent être lourdes, voire fatales. Première cause de dépendance et troisième cause de mortalité en France, cette pathologie due à une mauvaise irrigation du cerveau fait de plus en plus de victimes. Face à cette réalité alarmante, le CHU de Montpellier a annoncé fin août la mise en place d’un nouveau plateau technique offrant aux patients un parcours de soins optimisé. Et de promettre désormais une “prise en charge en neuf minutes”.

Coup d’oeil sur le métier d’infirmière formatrice

Isabelle Teurlay-Nicot est infirmière formatrice auprès des aides-soignants à l’IMS (Institut des Métiers de la Santé) du CHU de Bordeaux. Un métier qui ne se limite pas seulement à la notion d’apprentissage. En juillet dernier, elle a accepté de revenir sur cette profession ou se mêlent expertise médicale et pédagogie.