Signature d’une convention avec l’association « FAIS-MOI SIGNE »

Le 4 juin 2003, le CHU de Nantes et l'association « fais-moi signe » ont signé une convention afin de faciliter les démarches des personnes sourdes et malentendantes hospitalisées dans les 7 sites hospitaliers du CHU.

Le 4 juin 2003, le CHU de Nantes et l’association « fais-moi signe » ont signé une convention afin de faciliter les démarches des personnes sourdes et malentendantes hospitalisées dans les 7 sites hospitaliers du CHU. La cérémonie s’est déroulée en présence de M Boennec vice président du Conseil Général de Loire Atlantique et de Mme Choquet adjointe à la municipalité de Nantes,

L’intervention des bénévoles de l’association « fais-moi signe »,qui sont essentiellement des anciens professeurs de l’Institut de sourd de la Persagottierre, se fera en lien avec l’association des Visiteurs des Malades en milieu hospitalier. Ils proposeront au patient qui le souhaite la visite d’un médiateur chargé de l’aider dans ses relations quotidiennes avec le monde hospitalier, permet-tant ainsi de limiter les conséquences de son handicap et de son isolement.

Pour le CHU de Nantes et pour les membres de l’association, la convention représente une avancée significative pour faciliter l’accès à l’hôpital des per-sonnes sourdes et malentendantes et s’inscrit dans de l’année européenne des personnes handicapées

Commentaires

Il n’y a pas encore de commentaire pour cet article.

Sur le même sujet

A Lyon, l’IA prédit désormais des résultats d’essais cliniques

Le 11 septembre dernier, le groupe pharmaceutique AstraZeneca a publié les résultats d’un essai clinique sur un traitement pour soigner le cancer du poumon. Jusqu’ici, tout paraît à peu près normal. Ce qui l’est moins : trois jours avant cette publication, une intelligence artificielle a permis de prédire avec justesse les résultats de ce même essai. Une grande première au niveau mondial.

AVC : COURSE CONTRE LA MONTRE AU CHU DE MONTPELLIER

Les conséquences d’un Accident Cardiovasculaire (AVC) peuvent être lourdes, voire fatales. Première cause de dépendance et troisième cause de mortalité en France, cette pathologie due à une mauvaise irrigation du cerveau fait de plus en plus de victimes. Face à cette réalité alarmante, le CHU de Montpellier a annoncé fin août la mise en place d’un nouveau plateau technique offrant aux patients un parcours de soins optimisé. Et de promettre désormais une “prise en charge en neuf minutes”.

Hépatite C : à Strasbourg, Frédéric Chaffraix dirige le service qui l’a soigné

C’est tout près de l’hôpital Civil (Hôpitaux Universitaires de Strasbourg) que nous avons croisé la route de Frédéric Chaffraix, Responsable du Service Expert de Lutte contre les Hépatites Virales en Alsace (SELHVA). Ce service, l’homme de 42 ans le connaît bien. Car avant d’en prendre la tête – lui qui n’est pas médecin -, Frédéric l’a côtoyé en tant que patient, après avoir vécu vingt-trois ans, et sans le savoir, avec le virus de l’hépatite C. Rencontre.

Dossier : la maladie de Lyme

Dans ce dossier, nous abordons la piqure de tique et la transmission de la bactérie Borrelia, à l’origine de la très médiatisée maladie de Lyme. L’occasion, sur la base de travaux et d’études scientifiques, de démêler le vrai du faux à l’heure où les controverses et fausses informations pullulent sur internet.