En juin dernier, sur le circuit du Val de Vienne, 500 Ferrari roulaient pour la recherche contre le cancer. Le succès de cette 23 édition de Sport et Collection a permis de recueillir 300 000€ de dons ! Depuis la création de la manifestation, c’est 4 millions d'euros qui, au total, auront été reversés aux équipes de recherche du CHU de Poitiers grâce à l’association Sport et Collection et au Rotary club Civray Sud-Vienne. « Un financement décisif pour de la lutter contre le cancer » reconnaît Jean-Pierrre Dewitte, directeur général du CHU qui salue le fidèle engagement des mécènes et l’importance de leur contribution.
En juin dernier, sur le circuit du Val de Vienne, 500 Ferrari roulaient pour la recherche contre le cancer. Le succès de cette 23 édition de Sport et Collection a permis de recueillir 300 000€ de dons ! Depuis la création de la manifestation, c’est 4 millions d’euros qui, au total, auront été reversés aux équipes de recherche du CHU de Poitiers grâce à l’association Sport et Collection et au Rotary club Civray Sud-Vienne. « Un financement décisif pour de la lutter contre le cancer » reconnaît Jean-Pierrre Dewitte, directeur général du CHU qui salue le fidèle engagement des mécènes et l’importance de leur contribution.
« Avec le chèque de 300 000 euros que je remets au CHU de Poitiers, nous avons franchi la barre des 4 millions euros de dons récoltés depuis 1995 » Jean-Pierre Doury, le président de Sport et collection crédit photo : communication – CHU de Poitiers
Les fonds collectés financeront des expertises et des ressources techniques pour mener à bien des études cliniques
•un poste d’ingénieur en biologie, pour le projet du docteur Jonathan Clarhaut, sur le développement de systèmes moléculaires pour une chimiothérapie sélective.
•un poste de chercheur junior pour le projet d’André Herbelin « l’hypothèse d’un axe lymphocytaire lnkt/t « innate memory » anti-tumoral dans la leucémie myéloïde chronique ».
•un poste d’attaché de recherche clinique en oncologie médicale, pour le suivi des patients dans le cadre de programmes de recherche institutionnelle et académique.
•un poste d’ingénieur en biologie cellulaire et moléculaire, pour le projet « inhibition de la croissance et de l’angiogenèse tumorales par le facteur anticoagulant vitamine K-dépendant de la protéine S » du professeur Omar Benzakour.
•une contribution à l’achat d’une plateforme de séquençage génomique haut débit de dernière génération, pour le projet du professeur Christophe Burucoa, pour l’analyse des gènes à grande échelle.
La 24e édition de Sport et Collection est déjà programmée ! Rendez-vous les 31 mai, 1, 2 et 3 juin prochain, au Val-de-Vienne au Vigeant.
Le 11 septembre dernier, le groupe pharmaceutique AstraZeneca a publié les résultats d’un essai clinique sur un traitement pour soigner le cancer du poumon. Jusqu’ici, tout paraît à peu près normal. Ce qui l’est moins : trois jours avant cette publication, une intelligence artificielle a permis de prédire avec justesse les résultats de ce même essai. Une grande première au niveau mondial.
Les conséquences d’un Accident Cardiovasculaire (AVC) peuvent être lourdes, voire fatales. Première cause de dépendance et troisième cause de mortalité en France, cette pathologie due à une mauvaise irrigation du cerveau fait de plus en plus de victimes. Face à cette réalité alarmante, le CHU de Montpellier a annoncé fin août la mise en place d’un nouveau plateau technique offrant aux patients un parcours de soins optimisé. Et de promettre désormais une “prise en charge en neuf minutes”.
Isabelle Teurlay-Nicot est infirmière formatrice auprès des aides-soignants à l’IMS (Institut des Métiers de la Santé) du CHU de Bordeaux. Un métier qui ne se limite pas seulement à la notion d’apprentissage. En juillet dernier, elle a accepté de revenir sur cette profession ou se mêlent expertise médicale et pédagogie.
C’est tout près de l’hôpital Civil (Hôpitaux Universitaires de Strasbourg) que nous avons croisé la route de Frédéric Chaffraix, Responsable du Service Expert de Lutte contre les Hépatites Virales en Alsace (SELHVA). Ce service, l’homme de 42 ans le connaît bien. Car avant d’en prendre la tête – lui qui n’est pas médecin -, Frédéric l’a côtoyé en tant que patient, après avoir vécu vingt-trois ans, et sans le savoir, avec le virus de l’hépatite C. Rencontre.
Dans ce dossier, nous abordons la piqure de tique et la transmission de la bactérie Borrelia, à l’origine de la très médiatisée maladie de Lyme. L’occasion, sur la base de travaux et d’études scientifiques, de démêler le vrai du faux à l’heure où les controverses et fausses informations pullulent sur internet.