Test de paternité prénatal non invasif

Il n’est plus question de prendre des risques pour établir la paternité : le test de paternité prénatal non invasif permet d’obtenir des résultats précis et fiables sans risques dès la 10e semaine de la grossesse !

rnrn
Actuellement  un test de paternité prénatal non invasif  est disponible. Test extrêmement précis etrnfiable et le plus important qui ne suppose aucun risque pour la mère enceinternet le fœtus.
rnrn
Jusqu’ici, pour obtenir une évidence dernl’identité du père du bébé, la future maman devait se soumettre à une procédurernmédicale pénible et éventuellement dangereuse. Le test de paternité prénatalrninvasif nécessite un prélèvement d’échantillon d’ADN fœtal directement dernl’utérus, en général à l’aide d’une aiguille, ce qui comportait le risque dernnuire au bébé. Les procédures traditionnelles telles que l’amniocentèse ou lernprélèvement des villosités choriales (PVC) peuvent mener à une perte importanternde liquide amniotique ou même à la fausse couche. Même si de tellesrnconséquences graves ne se produisent heureusement pas souvent, les risques sontrnréels et vaut mieux les éviter.
rnrn
Comment fonctionne le test de paternité enrngrossesse?
rnrn
Tandis que le test ADN prénatal invasif visaitrnà obtenir un échantillon de cellules entières du bébé, contenant l’ADN fœtalrnnécessaire pour l’analyse ADN, le test ADN non invasif se fait à partir d’ADNrnfœtal libre (non-cellulaire). Les scientifiques savaient déjà depuis un bonrnmoment que le sang de la mère contient l’ADN du bébé sous forme d’ADN fœtal  libre, souvent en fragments, mais il fallaitrninventer la méthode pour extraire cet ADN du sang et de l’analyser d’unernmanière efficace.
rnrn
Cette méthode existe désormais, grâce aurnprogrès accéléré de la bioinformatique. A l’aide d’une technologie hypermodernernet un savoir-faire de premier ordre, les généticiens experts sont désormais enrnmesure d’isoler l’ADN fœtal libre dans le sang maternel pour analyser ce qu’onrnappelle les polymorphismes d\’un seul nucléotide (SNPs). Grâce à cette méthode,rnil est désormais possible d’établir la paternité d’un bébé avant sa naissancernmême avec une précision d’au moins 99,9%, à partir d’un simple prélèvementrnsanguin et sans aucun risque!
rnrn
Quels sont donc les avantages du test de paternitérnprénatal non invasif ?
rnrn

  1. Il ne demande pas d’intervention médical compliqué etrn coûteux : une simple prise de sang suffit.
  2. C’est test de paternité avant naissance ne comporte aucun risquern pour la santé du bébé ou de la mère. Tandis que les procédures invasivesrn telles que l’amniocentèse ou le PVC peuvent mener à une perte de liquidern amniotique ou même à une fausse couche, le test de paternité prénatal nonrn invasif ne peut causer aucun problème de santé.
  3. Pas de risque de diagnostic erroné : L’examen de cellulesrn fœtales entières, qui est la méthode de nombre de tests de paternitérn prénataux non invasifs offerts par d’autres laboratoires, peut donner desrn résultats faux à cause d’une grossesse précédente. C’est un fait connu quern des cellules d’un bébé peuvent rester dans la circulation sanguine de larn mère bien de mois après sa naissance ou une fausse couche. Ce risquern n’existe pas avec la méthode non invasive.
  4. Il est simple, rapide, précis et fiable. Le test est réalisable àrn partir de la 10e semaine de la grossesse. Les résultats dern votre test sont disponibles dans un délai de 5-7 jours ouvrables après larn réception de vos échantillons au laboratoire  et ils offrent une précision supérieurern à 99,9%.

rnrn
Le côté pratique
rnrn
Pour effectuer ce test, après réception dernvotre commande, le laboratoire vous envoie un kit ADN qui contient tout ce dontrnvous aurez besoin pour renvoyer vos échantillons de sang pour le test dernpaternité prénatal.
rnrn

Commentaires

Il n’y a pas encore de commentaire pour cet article.

Sur le même sujet

Simuler un attentat ou une tempête pour préparer aux situations d’urgence 

Après l’impressionnant déploiement du “Shelter”, hôpital mobile du CHU de Toulouse, ce fut au tour du projet “SENS” d’être présenté lors de la dernière édition de SantExpo. SENS, ou autrement dit un centre de simulation environnementale et neurosensorielle de 140 m2, ayant la capacité de recréer diverses situations extrêmes pour préparer au mieux les professionnels de l’urgence à des crises majeures. Un projet attendu sur le site de l’hôpital Purpan en 2024.

A Santexpo, des CHU de France en transition(s)

Pour la deuxième année consécutive, les 32 CHU ont affiché leur unité à l’occasion de Santexpo, salon qui a réuni du 23 au 25 mai l’écosystème de la santé. S’il est difficile d’évaluer les retombées réelles pour les établissements, ce rassemblement sur deux stands et une même bannière (CHU de France) aura eu le mérite de faire valoir un certain nombre de thèmes, dont les transitions numérique, écologique ou sociale au sein de l’hôpital. A défaut d’énumérer tout ce que nos caméras ont pu capter d’échanges sur ces trois jours, la rédaction vous propose de revivre dix temps forts.

Vincent Vuiblet : “L’IA va profondément modifier l’ensemble des fonctions hospitalières.” 

Connaissance des maladies, aide aux diagnostics, dépistage précoce, prise en charge des patients, prédiction de l’efficacité des traitements ou encore suivi des épidémies… dans la santé comme dans d’autres domaines, l’Intelligence artificielle est promise partout. Si les perspectives semblent vertigineuses, difficile de saisir ce que cette évolution technologique, que certains appréhendent comme une “révolution”, implique réellement. A l’occasion de SantExpo, nous avons interrogé Vincent Vuiblet, Professeur de médecine au CHU de Reims et directeur de l’Institut d’Intelligence Artificielle en Santé Champagne Ardenne depuis 2020, sur ce sujet particulièrement d’actualité. L’occasion pour lui de nous éclairer, de balayer aussi un certain nombre d’idées reçues et de fantasmes.

Le CHU de Bordeaux aux petits soins avec ses nouveaux internes

Le 15 mai dernier, deux cent six nouveaux internes ont été accueillis au Grand Théâtre, bâtiment phare de la capitale girondine et propriété du CHU de Bordeaux. Un événement en grandes pompes voulu par Yann Bubien, peu de temps après son arrivée en tant que Directeur général.

A saint-Étienne, cette nouvelle clinique soigne les champions comme les sportifs du dimanche

Ouverte depuis novembre dernier, la Clinique Universitaire du Sport et de l’Arthrose (CUSA) accueille dix-sept praticiens travaillant de concert pour soigner les problématiques qui entourent l’appareil locomoteur. Et si son plateau technique de pointe voit défiler les sportifs de haut niveau comme les amateurs, c’est une autre population, touchée par l’arthrose et autres douleurs articulaires, qui prend massivement rendez-vous. Reportage.