Le cancer du sein n’est pas une fatalité
Depuis 1990 et sous l’égide du département de la Somme, le CHU d’Amiens participe au dépistage organisé du cancer du sein par mammographie de toutes les femmes âgées entre 50 et 69 ans.
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Les 6 000 articles de sa base de données renseignent sur les toutes dernières découvertes des équipes hospitalo-universitaires, l’évolution des traitements, les progrès en matière de qualité, de sécurité et d’humanisation des soins.
RESEAU CHU rend également compte des réflexions éthiques menées par les professionnels de santé en concertation avec les patients et les associations de malades. Le site relaie aussi les campagnes de prévention et les actions d’éducation en santé.
RESEAU CHU met à la disposition des internautes une carte d’identité de chacun des hôpitaux universitaires. Et comme le paysage hospitalier français est en constante évolution, le site recense les opérations de modernisation-reconstruction des CHRU, les coopérations hospitalières de territoire ainsi que les réseaux de soins auxquels ils participent contribuant ainsi à une répartition plus équitable de l’offre de soins sur tout le territoire.
Depuis 1990 et sous l’égide du département de la Somme, le CHU d’Amiens participe au dépistage organisé du cancer du sein par mammographie de toutes les femmes âgées entre 50 et 69 ans.
Le Conseil d’Administration de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris a autorisé, au cours de la séance du 22 mars 2002, la signature d’une convention de transfert de gestion au Département de Paris pour une durée de 30 ans à titre gratuit,d’un terrain sur le site de l’hôpital Cochin (Paris 14ème) en vue de l’installation d’une pépinière d’entreprises exerçant une activité de recherche ou de développement dans le secteur biomédical.
Des centaines de réalisations(1) pour des soins de qualité au CHRU et dans la région.
Le Conseil d’Administration du CHRU de Lille a approuvé ce matin le bilan 2000 de la mise en oeuvre du Contrat d’Objectifs et de moyens 1999-2003, signé en février 2000 avec l’Agence Régionale de l’Hospitalisation.
Comme il s’y est engagé, le CHRU suit et évalue chaque année l’ensemble des réalisations mises en place pour atteindre les 4 principaux objectifs(2) du Contrat.
En lançant cette initiative, le Dr Cyrile Guillaumont ne se doutait pas de l’ampleur de la tâche qui l’attendait. En tant que psychiatre de liaison à l’Antenne de Psychiatrie et de Psychologie médicale du CHU d’Amiens, il avait pu constater les problèmes soulevés par l’accueil des patients suicidants. Il s’est donc engagé à améliorer leur situation pensant faire profiter tout l’établissement des résultats de son travail. En effet explique-t-il : « si le CHU arrive à bien accueillir les patients suicidants dans les services de médecine et de chirurgie, l’accueil des autres patients n’en sera que meilleur ! ».
Alerté par le nombre croissant d’enfants accueillis présentant un hématome sous-durale, le Pr. Patrick Dhellemmes, neurochirurgien pédiatrique à l’hôpital Roger Salengro, a constitué en 1998 une cellule d’évaluation pluridisciplinaire autour des enfants victimes de maltraitances. Elle associe un neurochirurgien,un pédiatre, une assistante sociale et un médecin légiste*.
Pour chaque admission d’enfant ou de nourrisson victime d’un traumatisme crânien, la cellule se réunit afin d’étudier la situation de l’enfant et de décider de l’opportunité d’un signalement aux autorités judiciaires ou administratives
Prêts pour le passage à l’euro, les Centres Hospitaliers Régionaux et Universitaires s’engagent dans la construction d’une Europe de la santé. Réunis à Strasbourg, les 6 et 7 décembre 2001, leurs Directeurs Généraux viennent d’adopter une stratégie d’ouverture et d’échanges avec leurs voisins européens.
Dans le cadre du développement d’un réseau d’accès aux soins, le CHU de Montpellier a mis en place des actions spécifiques :
– Un service d’interprète en langue des signes pour répondre aux besoins de communication entre personnes sourdes et leur famille d’une part, et les personnels médicaux et paramédicaux d’autre part lors des consultations médicales ou des séjours hospitaliers.
19 et 20 juin 2002 Ecole du Service de Santé des Armées
331, avenue du Général de Gaulle
69500 LYON BRON
Organisé
– avec le soutien de la Fondation Léa et Napoléon BULLUKIAN
– sous le patronage du Ministère de la Recherche
– et en partenariat avec l’Université de Lyon.
Au cours du 20ème siècle, l’explosion des technologies, dont l’Imagerie est le modèle le plus accompli, a profondément modifié les pratiques médicales, par exemple en chirurgie.
Ce colloque se propose :
– de faire un constat : l’hôpital a été à la fois le ferment et le fruit de cette révolution technologique,
– d’analyser pourquoi, dans la société complexe de ce début du 21ème siècle, l’hôpital résume et amplifie les débats suscités par les » progrès » de la science en général et de la médecine en particulier,
-de tracer les perspectives, d’envisager les conséquences de l’innovation sur la mutation du système de soins.
La réflexion sera menée sous l’angle médical, mais aussi économique, juridique et philosophique. Seront également abordés les aspects éthiques, à travers le problème de la responsabilité médicale face à la » vérité » des images.
L’hommage rendu à Pierre MARION, pionnier de la chirurgie cardiaque, par l’attribution d’un prix de 60.000 euros à un chirurgien par la Fondation BULLUKIAN, clôturera cette manifestation.
Ce colloque multidisciplinaire s’adresse à tous les professionnels de santé, aux ingénieurs et chercheurs, aux juristes et sociologues, aux journalistes, aux acteurs du monde économique et industriel, aux représentants des associations d’usagers, qui considèrent que ce thème résume les paradoxes actuels d’un débat de société autour de la médecine moderne.
La réforme actuellement envisagée s’inscrit dans le prolongement de la loi du 27 juillet 1999 portant création d’une couverture maladie universelle : son article 55 stipule en effet que » le gouvernement pourra expérimenter à compter du 1er janvier 2001 et pour une période n’excédant pas cinq ans de nouveaux modes de financement des établissements publics ou privés, fondés sur une tarification à la pathologie «
La maladie de Crohn (MC) est un problème de santé publique en Europe du Nord. C’est une maladie inflammatoire de l’intestin qui affecte entre 80 000 et 100 000 patients en France dont environ 8 000 dans la région Nord-Pas-de-Calais.