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High tech

Derniers articles

L’hôpital Necker inaugure LUMIERE, une plateforme d’imagerie unique dédiée à la femme enceinte et au fœtus

L’hôpital Necker-Enfants Malades AP-HP s’est doté, en partenariat avec Université de Paris et grâce au soutien de la Fondation LUMIERE (sous l’égide de la Fondation de France), d’une plateforme intégrée de recherche clinique et d’enseignement en imagerie médicale de la femme enceinte, du fœtus et du placenta. Le moyen à terme d’assurer un meilleur suivi de la grossesse et de l’enfant à naître mais aussi de comprendre, identifier et soigner certaines maladies avant même la naissance.

Cancer : le CHRU de Nancy, site de référence du Grand Est en Radio Théranostique Interne Vectorisée (RTIV)

Au printemps 2020, les premiers patients atteints de cancers en provenance de tout le Grand Est seront accueillis au sein du site de Brabois Adultes du CHRU de Nancy pour bénéficier d’un traitement de RadioThérapie Interne Vectorisée (RTIV). Un procédé thérapeutique innovant consistant en l’administration d’un médicament composé d’une molécule «vectrice» liée chimiquement un isotope radioactif.

Scanner, échographe, arceau de radioscopie mobile : entre imagerie et bloc opératoire, la nouvelle salle multimodale du CHU de Rennes

Avec l’installation d’un arceau de radioscopie, le CHU de Rennes vient de finaliser l’équipement de sa nouvelle salle d’imagerie interventionnelle partiellement ouverte il y a un an. Dans cette pièce high tech qui associe l’imagerie au bloc opératoire, déjà 1 000 patients atteints de cancers ont bénéficié de prélèvements biopsiques très ciblés et de traitements mini-invasifs spécifiques de leurs lésions oncologiques. Située au premier niveau du centre urgences réanimations (CUR), cette salle réunit les trois modalités de guidage en imagerie : un scanner interventionnel doté d’un large tunnel, un échographe de dernière génération permettant la fusion d’images (synchronisation d’imageries en coupe et de l’échographe), et un arceau de scopie mobile optimisant le guidage des instruments grâce à des images en temps réel.

Vertèbre fracturée et réparée par chirurgie robotique mini-invasive, une 1ère européenne à Nancy

Au CHRU de Nancy, un jeune homme de 36 ans victime d’un traumatisme du rachis lombaire ayant entraîné une fracture complexe d’une vertèbre, a bénéficié d’une nouvelle approche réparatrice chirurgicale robotique, le 9 août 2019. L’utilisation du robot a facilité l’implantation d’un fragment osseux iliaque et d’une prothèse afin de réparer sa vertèbre endommagée. A un mois de recul, l’état de ce patient a été jugé excellent.

La chirurgie augmentée par IA s’invente à Clermont-Ferrand

Le Pr Nicolas Bourdel, chirurgien gynécologue au CHU de Clermont-Ferrand et son équipe viennent de remporter le concours d’innovation I-LAB 2019 pour leur logiciel de réalité augmentée (SurgAR) adapté à la chirurgie par cœlioscopie. Cette reconnaissance, une première en Auvergne, marque l’entrée de la chirurgie mini-invasive dans le monde de l’intelligence artificielle. « Notre logiciel de réalité augmentée permet d’ajouter une information virtuelle (les données de l’imagerie pré-opératoire) à notre vue chirurgicale en temps réel. La vision par ordinateur qui est une branche de l’intelligence artificielle permet de combiner des images prises en pré et per intervention. Il s’agit d’une technologie de rupture.» souligne le Pr Bourdel.

Cardio : le CHRU de Nancy adopte l’endoprothèse de la crosse aortique

L’équipe de chirurgie vasculaire du CHRU de Nancy (Pr Serguei Malikov et Dr Nicla Settembre) a effectué un remplacement total de la crosse aortique par endoprothèse branchée sur un patient âgé de 71 ans, le 12 juillet 2019. L’établissement est le 3eme en France, après Paris et Lille, à réaliser cette intervention de haute précision et d’extrême technicité.

Poitiers acquiert la 1ère IRM 7 Tesla à visée clinique

En août, Poitiers accueillera une IRM 7 Tesla «ultra haut champ» qui ne sera utilisée qu’à des fins cliniques, une 1ère en France*. « Nous bénéficions du marquage CE sur cette machine, ce qui nous donne l’opportunité de l’utiliser à des fins cliniques dans le domaine des pathologies neurologiques ou ostéoarticulaires, pour le moment. Nous allons ainsi montrer que cette technologie peut servir au quotidien pour des cas difficiles, complexes, autour des maladies neuro-dégénératives, des micros AVC ou des pathologies psychiatriques, par exemple, qui nécessitent une imagerie encore plus pointue que celles que nous pouvons faire au quotidien. Ce nouvel équipement repousse les limites de l’imagerie médicale, il est 2,3 fois plus puissant que l’IRM 3 Tesla.» annonce avec satisfaction le professeur Rémy Guillevin, porteur médical du projet.