Progrès médical

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Création d’un pôle de référence régional Femme, Mère, Enfant

Le regroupement des activités liées à la maternité, à la néonatalogie, à la gynécologie de l’hôpital Bon Secours et de l’hôpital Sainte Croix au sein de « l’Hôpital Maternité de Metz » est prévu le jeudi 4 et le vendredi 5 septembre 2008. Les services de pédiatrie générale et d’urgences pédiatriques restent localisés à l’hôpital Bon Secours dans l’attente de leur déménagement sur Mercy en 2012.

Maladies rares : deux nouveaux centres labellisés

Après la labellisation du centre « anomalies du développement embryonnaire d’origine génétique » du Pr S. Odent, deux nouveaux centres de référence pour maladies rares viennent d’être agréés par le Ministère de la santé et de la solidarité : « les surcharges en fer génétiques rares » du Pr P. Brissot et « spina bifida » du Dr A. Manunta.

Un Centre national de référence cytomégalovirus

Le CHU de Limoges dispose a présent d’un Centre national de référence (CNR) cytomégalovirus, à même de répondre aux importants enjeux de santé publique posés par ces agents infectieux. Au premier plan des infections congénitales virales, l’infection à cytomégalovirus (CMV) touche environ 1 nouveau-né sur 200. Le CMV représente aussi une menace pour les personnes immunodéprimées. Présentation du centre et de ses perspectives…

Douleurs pelvi périnéales:l’équipe Nantaise devenue référence mondiale

Une approche thérapeutique originale
Voici 15 ans, aucune solution thérapeutique n’était proposée aux hommes et aux femmes qui souffraient de névralgies du nerf pudendal. Sans cause lésionnelle identifiée, les douleurs périnéales chroniques contraignaient les patients à un périple complexe et long au sein de consultations spécialisées et variées. Ce n’est qu’en 1986 que G. Amarenco, neurologue à l’Hôpital Rothschild, émet l’hypothèse que ces douleurs ont pour origine une compression du nerf pudendal. Le Professeur Roger ROBERT, chef de service de neuro-traumatologie du CHU de Nantes et professeur d’anatomie, valide cette hypothèse en 1987.

Télémédecine : Acquisition d’un pont en juin 2002

Depuis le mois d’octobre 2000, le Réseau de Soins Périnatals d’Auvergne organise entre les différents centres hospitaliers des visioconférences hebdomadaires nommées téléstaffs. Cet outil est partie intégrante du projet régional de télémédecine.
Le Réseau de Soins Périnatals d’Auvergne a organisé prés de 30 téléstaffs pour la période du 1er juin 2001 au 31 mars 2002 et ce dans le cadre du projet régional ATHOS (Auvergne Télémédecine HOSpitalière).

1er séquençage génétique haut débit réalisé en France

Pour la première fois en France et pour la troisième fois au monde, une équipe analyse tous les gènes de patients atteints d’une maladie héréditaire par « séquençage génétique haut débit » et identifie sa cause. Coordonnée par le Dr Cédric Le Caignec, médecin-généticien au CHU et chercheur à l’institut du thorax- Inserm UMRS_915 de Nantes, l’équipe publie ses résultats dans Nature Genetics*.

Les Victoires de la Médecine 2010 : 6 lauréats, 5 hommages, 1 coup de chapeau et 1 prix spécial

Lauréats des Victoires de la Médecine 2010Jeudi 2 décembre 2010, la salle parée de rouge et d’or du Casino de Paris a servi d’écrin aux Victoires de la médecine. Organisée sous le parrainage du Professeur Alain Carpentier et en présence de Xavier Bertrand, ministre de la Santé, de l’Emploi et du Travail, la cérémonie a mis en lumière les grands noms de la médecine française et permis aux 1 000 praticiens présents dans la salle de découvrir les toutes dernières avancées thérapeutiques dans 6 disciplines : Cancérologie, Cardiologie, Chirurgie, Neurologie, Technologie médicale et Réseaux de soins.
Retrouvez l’édition spéciale des Victoires de la médecine 2010 sur la chaîne hospitalière : Hospi TV.

Cancer du rein : tuer les tumeurs par le froid

Le cancer du rein touche 10 000 personnes chaque année. Près de 60% de ces tumeurs sont diagnostiquées à un stade précoce, leur tumeur mesure le plus souvent moins de 4 cm. Autre particularité, ces malades ne présentent aucun symptôme et leur cancer est détecté de manière fortuite, lors d’un radio ou d’une échographie abdominale. Actuellement, le traitement de référence de ces petites tumeurs est la chirurgie (intervention appelée néphrectomie partielle qui consiste à n’enlever que la tumeur en épargnant le rein). Cette intervention n’est pas dénuée de complications puisqu’elle s’accompagne dans près de 20% des cas d’hémorragie, de fuite d’urine au niveau du rein, d’infections, d’embolie pulmonaire…). L’équipe médicale du Centre Hospitalier Lyon Sud (CHU de Lyon) est une des six équipes* françaises à expérimenter la nouvelle technique prometteuse qu’est la cryothérapie.