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Progrès médical

Derniers articles

Squelette complet de face, de profil et en 3D grâce à EOS

EOS : nom de la déesse grecque de l’aurore. Celle qui par définition se lève toujours, baptise de son nom un équipement de radiographie qui permet de visualiser le squelette en position debout et que le CHU de Nancy vient d’acquérir. Directement issu de la « chambre à fils » pour laquelle Georges Charpack reçut le prix Nobel de physique en 1992, il permet d’obtenir simultanément un cliché de face et de profil de tout ou partie du squelette ainsi qu’une visualisation 3D lorsque la pathologie le nécessite. Innovant, cet appareil l’est surtout parce qu’il minimise considérablement l’irradiation délivrée au patient. Explications avec Laurence Mainard-Simard, médecin au service de radiologie pédiatrique de l’établissement.

Cancer : 2 équipements innovants pour diagnostiquer et soigner les cancers du rein et de la vessie

Avec l’acquisition d’un urétéroscope Laser et d’un processeur vidéo, le CHRU de Lille et le Centre Hospitalier de Seclin garantissent aux patients souffrant de cancer du rein, de l’uretère, de l’urètre ou de la vessie l’accès aux toutes dernières innovations technologiques. Un investissement de 516 000 euros financé à hauteur de 66% par le Conseil Régional, dans le cadre du Groupement de Coopération Sanitaire HPSM « Hôpital du Service Public du Sud de la Métropole Lilloise ».

Cancer du sein : acquisition d’un nouveau mammographe numérique

Dans le Nord – Pas-de-Calais, la moitié des patientes bénéficient d’un dépistage organisé avec double lecture. Or 50% n’est pas un taux de participation suffisant pour diminuer la mortalité du cancer du sein, il faudrait atteindre les 70%. L’Hôpital Jeanne de Flandre, établissement agréé vient d’acquérir un nouveau mammographe numérique avec stéréotaxie. Cet équipement de référence en sénologie améliore la qualité et l’organisation du diagnostic (précision, transmission d’images, diagnostic assisté par ordinateur) et devrait inciter un plus grand nombre de patientes à se faire suivre.

Décloisonnement du système de santé régional : l’IRM 1,5 Telsa

Le Groupement d’Intérêt Economique (G.I.E) IRM « le Truel », inaugure le 1er juillet 2008 son IRM sur le site de l’hôpital Saint-Eloi. Ce nouvel équipement à 1,5 Telsa fédère un réseau de compétences et de référence régionale dans le domaine des explorations IRM en cancérologie et en pathologie abdominale et digestive dans l’intérêt des patients de l’agglomération de Montpellier. Le G.I.E IRM « le Truel » rassemble les équipes privées et publiques issues du CHRU de Montpellier, du centre anticancéreux Val d’Aurelle, et de 99 radiologues libéraux de l’Hérault soit au total plus de 110 professionnels.

Le téléphone portable : nouveau relais de santé

Le téléphone mobile comme outil de prévention, comme support d’information individualisée en matière de santé ? Un défi pour Orange et le CHU de Nice ! Ils se sont associés pour examiner si le téléphone portable peut devenir un relais efficace entre les équipes de soins et les patients. De nouvelles fonctionnalités sont à l’étude qui, bientôt, changeront la vie des patients.

Infections ostéo-articulaires : Toulouse retenu centre de référence

Vendredi 26 septembre, le CHU de Toulouse a été officiellement désigné par la Ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, comme l’un des huit centres régionaux ou interrégionaux de référence reconnus pour le traitement des infections ostéo-articulaires complexes.

Désigné centre de référence de l’interrégion Sud-Ouest (Midi-Pyrénées, Aquitaine, Limousin), le CHU de Toulouse assurera les missions d’expertise, de formation et de recherche et de soins des infections ostéo-articulaires les plus complexes en liaison avec avec les équipes des services compétents des CHU de Bordeaux, de Limoges.

Echinococcoses : actualisation des recommandations de l’OMS à Besançon

Du 28 au 30 septembre 2007, le CHU de Besançon accueillait 67 spécialistes venus de 22 pays pour actualiser les recommandations officielles de l’OMS en matière de traitement des échinococcoses. Pourquoi ce colloque se déroulait-t-il en Franche-Comté ? Parce que les services du CHU de Besançon et les équipes de recherche de l’Université sont reconnus pour leur expertise dans la lutte contre les échinococcoses. Dès 1995, ils ont été mandatés par l’OMS en tant que «Centre Collaborateur pour la Prévention et le Traitement des Echinococcoses Humaines». Aujourd’hui les équipes sont labellisées « Centre référent pour la surveillance des cas d’échinococcose en France » par l’Institut de Veille Sanitaire.

Label «Centre d’évaluation et de traitement de la douleur» pour le CHU

Le CHU de Rennes est récompensé pour son implication dans le traitement de la douleur : 1er établissement breton à obtenir pour sa consultation multidisciplinaire de la douleur le label «Centre d’évaluation et de traitement de la douleur».
Pour mériter ce label le CHU devait répondre aux critères suivants : avoir une consultation et des lits d’hospitalisation, dispenser un enseignement et faire de la recherche. Le CHU est ainsi positionné comme une structure de recours pour la prise en charge des patients douloureux complexes en Bretagne.