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Addictions

Retrouvez ici tous nos articles sur les addictions.

Addictions : pathologies cérébrales définies par une dépendance à une substance ou une activité, avec des conséquences nocives. Exemples : alcool, cannabis, opiacés, cocaïne, amphétamines, jeu de hasard et d’argent.

Derniers articles

Prévenir et traiter les addictions sans drogue : un défi sociétal

Le Congrès international francophone d’addictologie se tiendra à Nantes, les 6, 7 et 8 octobre 2010. Cette rencontre est organisée par l’Association de recherche et de formation sur les addictions comportementales (AREFAC) et l’Union régionale d’associations en addictologie (URAA).

Nantes : capitale de la prévention du jeu excessif

Les jeux de hasard et d’argent sont des activités très prisées des Français. Pourtant, on estime qu’environ 600 000 à 1,8 millions joueurs auraient une pratique de jeu excessif, voire pathologique. Cette dépendance peut conduire à des situations d’endettement et d’isolement social graves. C’est pourquoi le CHU de Nantes, la Française des jeux et le PMU ont signé une convention en décembre dernier pour créer le premier centre de référence sur le jeu excessif en France. Il sera inauguré le jeudi 16 octobre 2008.
Localisé à l’hôpital Saint-Jacques, au sein du pôle universitaire d’addictologie et psychiatrie dirigé par le professeur Jean-Luc Vénisse, le centre de référence sur le jeu excessif (CRJE), est dédié à la recherche et à la prévention sur le jeu excessif et le jeu pathologique.

L’envol de l’Albatros, le centre de traitement des addictions inauguré

L’Albatros, Centre d’Enseignement, de Recherche et de Traitement des Addictions de l’hôpital Paul Brousse – Assistance publique-Hôpitaux de Paris- à Villejuif (94) a été inauguré le 7 avril 2008, dans le cadre du jubilé des centres hospitalo-universitaires. Fruit d’une alliance entre le Département de Psychiatrie Universitaire (Pr Michel Reynaud) et l’unité de Médecine Interne (Pr Alain Boissonnas), l’Albatros réunit ces compétences complémentaires. Intégrant les résultats des tout derniers travaux de recherche, le centre propose des prises en charge adaptées à chaque patient, aux produits consommés et aux degrés de dépendance. Il complète ainsi l’offre globale de soins de proximité et de référence (de niveau 3) à l’attention de tous les types de patients ayant des conduites addictives. Le Centre est dirigé par le Dr Amine Benyamina.

Rencontre nationale «Prendre soin des Femmes, Soigner les addictions»

L’APPR-Maternité sans tabac, l’Association Nationales des Sages-Femmes Tabacologues et le CHU de Limoges organisent les 13èmes rencontres nationales « Prendre soin des Femmes, Soigner les addictions tabac, alcool, cannabis » à la faculté de médecine de Limoges les 21 et 22 mai 2012. Un large plateau de professionnels répondront et échangeront avec médecins, soignants, étudiants et grand public, sur les problématiques d’addiction chez la femme et plus particulièrement chez la femme enceinte.

CSAPA : combattre la dépendance sans tabou !

Créée en 1982, l’Unité fonctionnelle d’accueil et de traitement des toxicomanies (UFATT) était à l’origine une association. Lorsqu’elle a été reprise par le CHU en 1994, le Pr Henri Lambert, alors chef du service des urgences, décide de renforcer la prise en charge des toxicomanes : des patients trop souvent stigmatisés. En 2011, le CHU de Nancy rassemble le CCAA (Centre de Cure Ambulatoire en Alcoologie) et l’UFATT pour fonder le CSAPA (Centre de Soins, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie), une structure visant à soigner autant l’alcoologie que la toxicomanie, et dont le chef de service est le Pr Raymund Schwan. Immersion dans ce service de soins où se reconstruisent des parcours de vie.

Sortir de l’alcoolisme : un jeu où tout le monde gagne !

Sortir de l’alcoolisme impose – au-delà de la prise en charge médicale- de trouver des clés pour gérer son temps et ses émotions : deux composantes de la vie réelle qui peuvent devenir sources d’angoisse pour des personnes vulnérables. Avant même de pouvoir reprendre contact avec une vie active, il est nécessaire pour ces patients de repenser leur rythme de vie et de poser les repères qui leur permettront de se construire une nouvelle route. C’est là qu’intervient le jeu, véritable transition vers l’adoption de nouveaux loisirs et support à un travail sur soi pour accepter l’idée même de se divertir. Ce « jeu des loisirs » inédit a été développé au CHU de Nancy.