Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Accident vasculaire cérébral (AVC)

Derniers articles

Dossier : l’Accident Vasculaire Cérébral (AVC)

L’Accident Vasculaire Cérébral touche 150 000 personnes par an. Responsable de 110 000 hospitalisations selon le ministère de la santé, cet arrêt soudain de la circulation sanguin à l’intérieur du cerveau représente la troisième cause de décès chez l’homme et deuxième chez la femme, soit au total 30 000 décès par an. En France, plus de 500 000 Français vivent avec des séquelles suite à un AVC.

AVC : Brest soutient une start-up spécialisée dans l’aide à la décision

Le CHRU de Brest vient de signer une convention de partenariat avec la jeune start-up Intradys, spécialisée dans l’aide au traitement des AVC ; un partenariat financier, le CHRU entre ainsi au capital de la société à hauteur de 10% et médical, Intradys bénéficiera ainsi de l’accès à des données de santé ciblées et anonymisées de 500 patients volontaires soignés au CHRU

Une équipe de l’AP-HP participe à l’étude de l’association entre risque d’AVC et temps de travail prolongé

Un temps de travail prolongé, qui correspondrait à plus de dix heures par jour au moins 50 jours par an, peut représenter un risque de survenue de maladies cardio-vasculaires ou d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). Ce constat est issu d’une étude menée par une équipe française de l’hôpital Raymond-Poincaré AP-HP, de l’Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, de l’Université Paris-Saclay et de l’Inserm, en collaboration avec des équipes américaines, européennes et japonaises.

A Montpellier, une nouvelle salle de Neuroradiologie Interventionnelle « bi-plan » pour la prise en charge des AVC

Le Service de Neuroradiologie du CHU de Montpellier, situé à l’hôpital Gui de Chauliac, se dote d’une nouvelle salle de Neuroradiologie Interventionnelle l’Azurion 7B20/15 (B pour Biplan) ClarityIQ « BIPLAN AZURION » capable de prendre en charge les AVC graves de la région Occitanie par une voie mini-invasive.

A Nice, deux nouvelles initiatives au service de la qualité de vie des patients

Le CHU de Nice développe avec ses partenaires des actions visant à améliorer la qualité de vie des patients de l’hôpital Archet 1. Création d’un salon de coiffure et d’esthétique au sein du service de médecine physique et réadaptation fonctionnelle et renforcement de l’activité physique des patients atteints de cancer grâce au don de 15 vélos sont les deux dernières actions développées pour un mieux-être des personnes malades.

Accidents vasculaires cérébraux (AVC) : Rennes franchit le cap des 1 000 thrombectomies

Le CHU de Rennes vient de franchir la barre des 1 000 thrombectomies en 10 ans – de 2008 à 2018 – et se classe à la 10ème place des centres français les plus actifs. Véritable challenge technique et organisationnel, la thrombectomie s’est imposée au fil des ans comme la référence en matière de traitement des accidents vasculaires cérébraux (AVC) à déployer en moins de 6 heures après le début des symptômes. Révolutionnaire, cette technique parfaitement maîtrisée au CHU de Rennes repose sur des compétences pluridisciplinaires et d’expertises parfaitement coordonnées grâce à la filière de prise en charge des AVC.

Accidents vasculaires cérébraux : la thrombectomie contre l’AVC

78 thrombectomies ont été pratiquées par le service de neuroradiologie du CHU de Nantes en 2015 sur des patients victimes d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) en phase aiguë. Le recours à ce traitement est de plus en plus fréquent – plus de 40% par rapport à 2014. L’intervention consiste à introduire, sous contrôle d’imagerie, un cathéter dans l’artère fémorale et à le remonter jusqu’au vaisseau où se trouve le caillot dans le cerveau. Le cathérer contient un stent retriever, fil métallique très fin que le neuroradiologue fait avancer jusqu’à traverser le caillot. Au moment du retrait, le stent s’ouvre en filet allongé et capture le caillot qui est ramené jusqu’à une seringue qui l’aspire.

AVC : un biomarqueur pour réduire les risques de complication

En cas d’Accident Vasculaire Cérébral (AVC), un traitement appelé thrombolyse est prescrit pour désagréger le caillot qui obstrue l’artère cérébrale. Cependant, les médicaments utilisés ne sont pas dénués de risque hémorragique. Pour prévenir les complications, les chercheurs lillois et finlandais ont testé avec succès un nouveau marqueur qui permettrait de sélectionner les patients à haut risque d’hémorragie. Dans les cas difficiles, ce biomarqueur guidera la décision médicale avec à la clé des traitements personnalisés en fonction du profil de risque de chaque patient. A Lille, les Professeurs Leys et Bordet* sont l’origine de l’identification