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Accident vasculaire cérébral (AVC)

Derniers articles

Nouvelle Unité en Soins Intensifs Neurovasculaires

24h/24, les victimes d’Accident Vasculaire Cérébral (AVC) sont accueillies au CHRU de Nancy au sein d’une unité très spécialisée, l’unité Neuro Vasculaire (UNV) où médecins et professionnels paramédicaux sont formés à l’urgence de l’accident cardiaque. D’une capacité de 12 lits de soins intensifs, le service dispose d’une salle de soins et d’un monitoring centralisés pour une surveillance accrue des patients.

Nancy-Neufchâteau : lancement de la téléexpertise AVC

La téléexpertise dédiée aux Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC) est opérationnelle au Centre Hospitalier de Neufchâteau depuis le début du mois d’avril 2014 : ces connexions mettent en relation à distance l’établissement vosgien et les neurologues du CHRU de Nancy séparés d’une soixantaine de kilomètres. Déjà en place à Bar-le-Duc et Verdun, le dispositif permet un traitement plus rapide des patients et évite les déplacements inutiles. Une nouvelle avancée positive dans la structuration de la filière AVC en Lorraine.

AVC : proximité et expertise ne sont plus antinomiques grâce à la filière neurovasculaire

Pour traiter les 350 patients victime d’un Accident Vasculaire Cérébral (AVC) qui se présentaient tous les ans, le Centre Hospitalier Comminges- Pyrénées de Saint-Gaudens ne disposait ni d’un neurologue à temps plein, ni d’une unité de neurologie vasculaire. Heureusement tout a changé depuis le partenariat conclu voici quelques mois avec le CHU de Toulouse. Désormais les patients du bassin du Sud de la Haute-Garonne et de la Barousse frappés par un AVC sont immédiatement intégrés dans la nouvelle filière neurovasculaire

Saint-Etienne : Centre national de référence pour l’AVC de l’enfant

Le CHU de Saint-Etienne a été retenu comme coordonnateur du centre national de référence pour l’Accident Vasculaire Cérébral (AVC) de l’enfant. L’enjeu : prévenir et traiter l’AVC de l’enfant, le rééduquer quand il souffre des séquelles et faire progresser la connaissance sur cette pathologie. En collaboration avec une dizaine d’établissements spécialisés partenaires*, Saint-Etienne animera les dispositifs et études autour de l’AVC de l’enfant

Le refroidissement thérapeutique : nouvel espoir pour les victimes d’AVC ?

Deuxième cause de mortalité dans le monde et de handicap dans les pays du Nord, l’Accident Vasculaire Cérébral (AVC) fait l’objet d’une attention soutenue de la part de 25 pays européens porteurs du programme EuroHYP-1.L’enjeu de ce nouvel essai clinique à échelle paneuropéenne : évaluer l’hypothermie légère en tant que traitement le plus prometteur de l’AVC ischémique aigu.

Inauguration de l’Unité de Soins Intensifs de Neurologie Vasculaire

Démonstration concrète de l’apport d’une communauté hospitalière à l’offre de soins d’un territoire : grâce au soutien du Professeur Hervé Vespignani, chef du service de neurologie du CHU de Nancy et dans le cadre de la Communauté Hospitalière de Territoire du Sillon Lorrain (CHT) entre le CHR Metz-Thionville et le CHU de Nancy, l’unité de Soins Intensifs de Neuro-Vasculaire du CHR Metz-Thionville, ouverte en mai 2010, a pu étendre son activité 24h/24 grâce au un renfort de neurologues en temps partagé sur les deux sites. Un plus pour les 1 500 lorrains du Nord, victimes chaque année d’un AVC.

AVC : mieux évaluer l’impact des troubles anxio-dépressifs pour mieux rééduquer

L’Accident Vasculaire Cérébral en France est la deuxième cause de démence et la première cause de handicap acquis de l’adulte. Un Français sur 2 touché par un AVC souffre de troubles anxio-dépressifs. S’il est reconnu que ces troubles perturbent les capacités intellectuelles ou «cognitives», il reste à mesurer précisément leur impact réel sur les performances cognitives des patients afin de proposer au plus tôt une prise en charge complète et adaptée. C’est tout l’enjeu de étude actuellement en cours au CHU de Nancy.

Le vaisseau star war du CHU à l’assaut de l’anévrisme

Quittant l’image monoplan pour accéder à la troisième dimension rotationnelle, le CHU de Poitiers investit le monde futuriste de la radiologie interventionnelle avec l’acquisition d’une salle de haute technologie appelée « bi-plan capteurs-plans ». « La première en France et la cinquième en Europe » se réjouit Jean-Pierre Dewitte, Directeur Général. A la fois centre de radiologie vasculaire et bloc opératoire, le pôle imagerie marque une étape déterminante dans le traitement des accidents vasculaires cérébraux et témoigne d’une évolution profonde de la médecine de demain : « Le progrès, c’est la fusion entre la biologie et l’imagerie, entre la radiologie, la neurochirurgie et la chirurgie» commente le Dr Jacques Drouineau, thérapeute endovasculaire et coordonnateur du pôle imagerie.
Ouverte en mai 2005, la salle de radiologie vasculaire est dédiée au diagnostic et à l’interventionnel des pathologies neurovasculaires et vasculaires. 80 patients poitevins souffrant d’anévrisme encéphaliques, d’hémorragie de la délivrance ou post-traumatique digestive ou encore de saignements du nez incoercibles… ont déjà bénéficié de cette technologie innovante.

Télémédecine et neurologie en Franche-Comté

Avec plus de 4 500 accidents vasculaires cérébraux (AVC) par an, la Franche-Comté est une région de France largement touchée par cette pathologie. La rapidité de la prise en charge initiale et de la rééducation est déterminante pour diminuer le risque de séquelles ou de décès. Le réseau des Urgences Neurologiques de Franche-Comté (RUN-FC) a ainsi développé des outils de télémédecine pour que les neurologues, neurochirurgiens et radiologues du CHRU de Besançon disposent d’une solution complète de diagnostic à distance. Ils diagnostiquent et traitent ainsi les AVC et les autres urgences neurologiques, en concertation avec les urgentistes de dix hôpitaux de Franche-Comté.